Conseil de sécurité


CS/12800

Le Coordonnateur spécial pour le Moyen-Orient, M. Nickolay Mladenov, a dressé, aujourd’hui, devant le Conseil de sécurité, un tableau alarmant de la situation globale au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, au sein de laquelle la question de la Palestine demeure un « symbole puissant et un cri de ralliement » facilement détourné par les groupes extrémistes.

CS/12799

Face à la récente flambée de violence en Libye, le Représentant spécial du Secrétaire général pour le pays, M. Martin Kobler, a appelé ce matin les parties, devant le Conseil de sécurité, à « retrouver l’esprit de Skhirat », en référence à l’Accord politique libyen conclu en 2015 dans cette ville marocaine, sous peine d’entériner le vide politique actuel. 

CS/12795

Après avoir entendu, ce matin, l’exposé du Président du Comité des sanctions contre la Somalie et l’Érythrée créé en vertu des résolutions 751 (1992) et 1907 (2009), les membres du Conseil de sécurité, unis pour le maintien de ces sanctions contre le premier pays, « instrument clef de la lutte contre les Chabab », ont, en revanche, formulé des points de vue différents sur le régime imposé au second.

CS/12794

Plus de 13 ans après son déploiement, le Conseil de sécurité a, ce matin, prorogé, pour une période « finale » de six mois, le mandat de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en Haïti (MINUSTAH) et créé la Mission des Nations Unies pour l’appui à la justice en Haïti (MINUJUSTH), appelée à lui succéder à compter du 16 octobre 2017.

CS/12792

Les progrès enregistrés dans la mise en œuvre de l’Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la République démocratique du Congo (RDC) et la région, quatre ans après sa signature, risquent d’être compromis par la présence continue de groupes armés non étatiques dans l’est de la RDC, a expliqué en substance, au Conseil de sécurité, l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour la région des Grands Lacs, M. Said Djinnit.

CS/12791

Plus que jamais divisé sur le dossier syrien, le Conseil de sécurité a, cet après-midi, rejeté un projet de résolution qui exigeait de toutes les parties qu’elles ménagent à la Mission d’établissement des faits de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) et, « le cas échéant », au Mécanisme d’enquête conjoint OIAC-ONU un accès « sans délai et en toute sécurité » pour déterminer les responsabilités dans l’attaque à l’arme chimique présumée perpétrée à Khan Cheikhoun le 4 avril 2017.