En cours au Siège de l'ONU

Conseil de sécurité


CS/13131

Le Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, a souligné, ce matin, devant le Conseil de sécurité, la nécessité de mettre la prévention « au centre de tout ce que nous faisons » et d’efforts « plus cohérents » de l’ONU afin de relever les défis contemporains complexes à la paix et à la sécurité internationales, dont les changements climatiques, véritables « multiplicateurs de menaces ». 

CS/13129

Le Plan d’action global commun est à la « croisée des chemins », a, cet après-midi, estimé le Secrétaire général adjoint aux affaires politiques, M. Jeffrey Feltman, en faisant référence à l’accord adopté le 14 juillet 2015 en vue d’apporter à la question nucléaire iranienne une solution à long terme globale et appropriée.

CS/13127

Le Conseil de sécurité a, ce matin, prorogé jusqu’au 10 janvier 2019 le mécanisme de surveillance de l’acheminement de l’aide transfrontalière humanitaire en Syrie, qu’il avait créé dans la résolution 2165 (2014), afin de remédier à la « détérioration constante de la situation humanitaire effroyable » dans ce pays et d’apporter une assistance vitale à trois millions de personnes. 

CS/13126

Le Conseil de sécurité a organisé, cet après-midi, une réunion sur les armes légères et de petit calibre, « facteur déterminant des crises », selon la Haut-Représentante pour les affaires de désarmement, Mme Izumi Nakamitsu, venue présenter le dernier rapport* du Secrétaire général sur cette question.

CS/13125

En raison de l’exercice du droit de veto de l’un de ses cinq membres permanents, les États-Unis, le Conseil de sécurité a, ce matin, rejeté un projet de résolution affirmant que « toute décision ou action qui visent à modifier le caractère, le statut ou la composition démographique de la ville sainte de Jérusalem n’ont aucun effet juridique, et sont nulles et non avenues ». 

CS/13124

Le Coordonnateur spécial pour le processus de paix au Moyen-Orient, M. Nickolay Mladenov, a estimé, ce matin, devant le Conseil de sécurité, que l’absence de mesures significatives pour préserver la solution des deux États et la fragilisation de l’architecture internationale en soutien de la paix augmentaient les risques de tension dans la région.