Le Conseil de sécurité a, ce matin, engagé les dirigeants politiques bissau-guinéens à appliquer les Accords de Conakry du 14 octobre 2016, notamment en nommant un premier ministre de consensus.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité: Couverture des réunions
Le Conseil de sécurité a, ce matin, entendu un exposé sur la mission qu’il a effectuée les 7 et 8 septembre à Addis-Abeba, en Éthiopie, pour la onzième réunion consultative annuelle entre ses membres et ceux du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine (UA), dont les échanges, portant sur le renforcement du partenariat et de la coopération entre les deux organisations en matière de paix et de sécurité, ont été qualifiés de « succès ».
Le Représentant spécial du Secrétaire général auprès de l’Union africaine (UA), M. Haile Menkerios, a, ce matin, présenté devant le Conseil de sécurité les points saillants de la onzième réunion annuelle des Nations Unies et de l’UA, qui s’est tenue la semaine dernière à Addis-Abeba, en Éthiopie, en relayant les appels en faveur d’un renforcement logistique et financier entre les deux organisations.
Une semaine après le dernier essai nucléaire de la République populaire démocratique de Corée (RPDC), le Conseil de sécurité a, ce soir, durci son régime de sanctions à l’encontre de ce pays: limitation des importations de pétrole, interdiction d’importer du gaz naturel, gel des exportations de textile et refus de permis de travail aux expatriés nord-coréen.
Avec l’appui de l’ONU, « le processus de paix entre le Gouvernement et les Forces armées révolutionnaires de Colombie – Armée populaire (FARC-EP) a, lentement mais sûrement, fait basculer le pays du côté de l’espoir », a affirmé, ce matin, devant le Conseil de sécurité, le Représentant spécial du Secrétaire général pour la Colombie, M. Jean Arnault.
À la demande du Mali, le Conseil de sécurité a, ce matin, créé un régime de sanctions ciblées contre « ceux qui dressent des obstacles » à l’application de l’Accord pour la paix et la réconciliation dans ce pays, dont les « fragiles avancées réalisées jusqu’à présent » sont, selon lui, mises en « péril ».
Après l’essai nucléaire que la République populaire démocratique de Corée (RPDC) a effectué hier, dimanche 3 septembre, soit le sixième depuis 2006, le Conseil de sécurité s’est réuni en urgence ce matin à la demande des États-Unis, de la France, du Japon, de la République de Corée et du Royaume-Uni.
La République populaire démocratique de Corée, la Syrie, le Liban, le Yémen, les questions africaines, les sanctions et le terrorisme international étaient au cœur du bilan du mois d’août que le Conseil de sécurité a dressé aujourd’hui, sous la présidence égyptienne.
Le Conseil de sécurité a, cet après-midi, à l’unanimité, prorogé jusqu’au 31 août 2018 le mandat actuel de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL), sans le modifier.
Le Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires, M. Stephen O’Brien, a, ce matin, de nouveau exhorté le Conseil de sécurité, l’« organe le plus important dans le monde chargé d’empêcher les guerres » et « les morts et les souffrances humaines qui y sont directement liées », à tout tenter pour que la population syrienne cesse de « payer le prix d’un échec politique et diplomatique ».