Le nouvel accord signé par les parties libyennes à Skhirat, au Maroc, le 11 juillet dernier n’a pas empêché le Représentant spécial pour la Libye, M. Bernardino León, de faire part aux membres du Conseil de sécurité de son inquiétude concernant la détérioration de la situation en Libye résultant de la fragmentation politique et de la violence liée, en particulier à Daech.
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
La Namibie ou les Bahamas hier, la Jamaïque ou Sainte-Lucie aujourd’hui, les pays à revenu intermédiaire n’ont cessé de dénoncer, tout au long de la troisième Conférence internationale sur le financement du développement, le calcul « erroné » qui leur attribue un niveau de développement tel qu’il leur barre l’accès aux financements concessionnels. Il
Le Conseil de sécurité a prorogé, ce matin, le mandat de la Force intérimaire de sécurité des Nations Unies pour Abyei (FISNUA) jusqu’au 15 décembre 2015, en demandant instamment aux Gouvernements du Soudan et du Soudan du Sud d’adopter des mesures visant à renforcer la confiance entre les différentes communautés concernées par cette zone frontalière qu’ils se disputent.
Les résultats d’un partenariat entre la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO) et les forces gouvernementales doivent renforcer notre engagement et notre volonté de combattre la menace que posent les groupes armés, a déclaré, ce matin devant le Conseil de sécurité, le Représentant spécial du Secrétaire général pour ce pays, M. Martin Kobler.
La deuxième journée de la Conférence sur le financement du développement qui se tient jusqu’au 16 juillet à Addis-Abeba, en Éthiopie, a été marquée par la promesse des principaux pays donateurs de l’aide publique au développement (APD) de consacrer une partie de leur produit intérieur brut (PIB) à cette aide dont le rôle « central » et « catalyseur » a été souligné par les pays récipiendaires.
Après Monterrey en 2002 et Doha en 2008, les chefs d’État et de gouvernement se retrouvent à Addis-Abeba pour, une troisième fois, affiner les moyens de mobiliser les ressources pour financer prioritairement la lutte contre l’extrême pauvreté. La troisième Conférence internationale sur le financement du développement, qui se tient jusqu’au 16 juillet, a ouvert ses portes aujourd’hui dans la capitale économique de l’Ethiopie, “un pays dynamique niché dans un continent émergent”, selon les mots du Directeur-général adjoint du Fonds monétaire international (FMI). Les enjeux sont de taille. “Le cadre global de financement”, qui sortira d’Addis-Abeba, a pour vocation de financer les 17 objectifs du programme de développement durable pour 2015-2030 et ses 164 cibles, qui seront adoptés à New York en septembre prochain, pour prendre le relais des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD).
Le Conseil économique et social (ECOSOC) a conclu, aujourd’hui, le débat de haut niveau de sa session 2015 en entendant la présentation des derniers rapports nationaux sur les progrès accomplis dans la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD).
On estime que 10 à 20 millions de personnes sont aujourd’hui en vie grâce aux efforts de mise en œuvre des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), fixés lors du Sommet mondial, au Siège de l’ONU en 2000. C’est à partir de ce constat que les membres du Conseil économique et social (ECOSOC) ont envisagé les efforts à faire pour obtenir davantage de résultats et parvenir, d’ici à 2030, à l’éradication complète de la pauvreté et au développement durable, en particulier dans les pays les moins avancés (PMA).
Dix jours après les élections communales et législatives tenues le 29 juin, et à quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle du 15 juillet, le Conseil de sécurité a examiné la situation au Burundi.
En adoptant, cet après-midi, une Déclaration ministérielle, le Conseil économique et social (ECOSOC) et le Forum politique de haut niveau sur le développement durable ont achevé leurs sessions de haut niveau. Par ce texte, ils ont exprimé leur détermination à élaborer, pour les 15 prochaines années, un programme de développement qui soit « solide, ambitieux, inclusif » et « centré sur l’humain ».