La Sixième Commission a entamé, aujourd’hui, ses travaux au titre de la soixante et onzième session de l’Assemblée générale par l’examen des mesures visant à éliminer le terrorisme international. Les délégations se sont une nouvelle fois prononcées pour la mise au point d’une convention générale sur le terrorisme international mais se sont montrées en désaccord sur la définition du terrorisme.
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
Le Programme de développement durable à l’horizon 2030, le Programme d’action d’Addis-Abeba, l’Accord de Paris sur le climat, et le Cadre de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe sont des « instruments multilatéraux historiques » adoptés en 2015, ont souligné de nombreuses délégations, à l’occasion du premier jour de débat général de la Deuxième Commission (Commission économique et financière). La mise en œuvre des engagements pris dans le cadre de ces documents doit être au centre des travaux de la présente session, ont-elles insisté.
L’Assemblée générale a décidé, ce matin, que les Comores, la Guinée-Bissau, Sao Tomé-et-Principe et la Somalie seront autorisés à participer à ses votes jusqu’à la fin de cette session, bien que ces pays ne se soient pas acquittés de leur paiement au budget ordinaire de l’Organisation.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entamé, ce matin, son débat général sur tous les points à son ordre du jour.
Le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien a, ce matin, demandé à l’Assemblée générale de proclamer 2017, « Année internationale pour mettre fin à l’occupation israélienne ».
Le Conseil économique et social (ECOSOC) a, cet après-midi, recommandé à l’Assemblée générale de procéder, lors de sa soixante et onzième session, à l’augmentation du nombre d’États qui composent le Comité exécutif* du Programme du Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, qui passerait de 98 à 101.
La Première Commission, chargée des questions de désarmement et de sécurité internationale, a adopté, ce matin, son programme de travail pour la soixante et onzième session de l’Assemblée générale.
La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires s’est penchée, aujourd’hui, sur les fonctions d’audit et de contrôle interne de l’Organisation des Nations Unies, « déterminante pour garantir l’efficacité du fonctionnement administratif et financier de l’Organisation ».
« C’est avec tristesse, désarroi, frustration et colère que je vous fais rapport sur la situation humanitaire honteuse que connaît la Syrie aujourd’hui, en particulier dans l’est d’Alep », a déclaré, ce matin, le Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires et Coordonnateur des secours d’urgence, M. Stephen O’Brien, aux membres du Conseil de sécurité, dans le cadre de la réunion d’information mensuelle sur ce sujet. Il leur a demandé d’agir, sous peine de voir basculer le Conseil « du mauvais côté de l’Histoire ».
Aujourd’hui à la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires, de nombreux groupes régionaux ont réclamé des négociations sur les fonds nécessaires à l’exécution des tâches assignées au Secrétariat de l’ONU dans le Programme de développement durable à l’horizon 2030 et le Programme d’action d’Addis-Abeba sur le financement du développement. La Cinquième Commission, qui devrait terminer ses travaux le 9 décembre prochain, sera présidée Mme Inga Rhonda King de Saint-Vincent-et-les Grenadines.