Alors que la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, poursuivait aujourd’hui son examen de la situation des droits de l’homme dans différents pays, un large groupe de délégations ont rappelé leur opposition au principe même des mandats de pays, jugés politisés, sélectifs, intrusifs et irrespectueux de la souveraineté des États dès lors qu’ils étaient créés sans leur accord. Plusieurs ont estimé que la Troisième Commission n’était pas le lieu pour les examiner et que ces questions devraient être traitées au Conseil des droits de l’homme, dans le cadre de l’Examen périodique universel.