Entamée le 25 mars dernier, la deuxième session de fond de la Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer, et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des « zones ne relevant pas de la juridiction nationale », a pris fin cet après-midi.
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a conclu, aujourd’hui, sa première reprise de session avec l’adoption par consensus de cinq textes.
Pour la première fois depuis 2016, la Commission de la population et du développement a terminé, ce matin, les travaux de sa cinquante-deuxième session en décidant d’un commun accord que sa cinquante-quatrième session, en 2021, aura pour thème spécial: « Population et développement durable, en particulier croissance économique soutenue et inclusive ». La Commission a également adopté l’ordre du jour provisoire* de sa cinquante-troisième session, en 2020.
Comment contrer la menace de « l’occu-annexion » de jure et de facto du Territoire palestinien occupé et son impact sur la solution des deux États? C’est la question à laquelle a tenté de répondre, aujourd’hui, le Forum des Nations Unies sur la question de Palestine qui s’est attaqué, cette année, au thème « La menace de l’annexion de facto - Quel avenir pour la Palestine? ».
En abordant aujourd’hui le point sur « les dispositions finales » du futur instrument international juridiquement contraignant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale, les délégations entrevoient la fin d’un périple qui a débuté il y a près de deux semaines, le 25 mars dernier.
Au quatrième jour de son débat général, la Commission de la population et du développement a concentré son attention sur les activités menées en 2018 par la Division de la population du Département des affaires économiques et sociales (DAES) et sur les tendances démographiques qui se dessinent pour les années à venir.
« Financement », « suivi et examen », et « objectifs du renforcement des capacités et du transfert de techniques marines » – voici les trois questions qu’a achevé d’examiner, aujourd’hui, le Groupe de travail informel de la Conférence chargée d’élaborer un instrument sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale.
Arrivée à mi-parcours de sa cinquante-deuxième session, la Commission de la population et du développement a souligné aujourd’hui à quel point l’adoption des objectifs de développement durable avait « ravivé » la pertinence du Programme d’action du Caire, en particulier sur les questions liées à l’égalité des sexes et à l’autonomisation des femmes.
« La fin du maintien de la paix en Haïti est à portée de main », a affirmé, ce matin, au Conseil de sécurité, le Secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix, M. Jean-Pierre Lacroix, en soulignant toutefois que la « fluidité politique » et la « fragilité économique » dans le pays justifient le maintien d’une présence de l’ONU après le retrait, le 15 octobre, de la Mission des Nations Unies pour l’appui à la justice en Haïti (MINUJUSTH).
Présidé par le Représentant permanent de l’Allemagne, M. Christoph Heusgen, le Conseil de sécurité a rendu publique aujourd’hui une déclaration présidentielle sur la situation au Mali dans laquelle il encourage l’adoption par les parties maliennes d’une feuille de route révisée avec un calendrier « clair, réaliste et contraignant », portant sur un nombre restreint de priorités, pour parachever la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation.