En cours au Siège de l'ONU

Assemblée générale


AG/11094
Une table ronde, présidée par M. Gervais Rufyikiri le Deuxième Vice-Président de la République du Burundi, a eu lieu ce matin sur le thème « Intégrer la lutte contre le VIH/sida aux programmes portant sur la santé et le développement en général ». La question de la gestion des co-infections VIH/tuberculose a été posée. Si les orateurs ont noté des avancées « notables », ils ont néanmoins reconnu que « la partie n’est pas gagnée ».
AG/11093
La Réunion de haut niveau s’est ouverte le 8 juin dernier, par une intervention du Secrétaire général de l’ONU qui a dit « nous sommes ici pour mettre fin au VIH/sida », avant de présenter sa stratégie** en cinq points visant à réaliser d’ici à 2015 l’objectif du « triple zéro », à savoir « zéro nouvelle infection, zéro discrimination et zéro mort due au sida ».
AG/11089
Une table ronde, présidée par Mme Marie-Josée Jacobs, Ministre de la coopération et de l’action humanitaire du Luxembourg, s’est tenue cet après-midi sur le thème « Comment atteindre l’objectif « zéro nouvelle infection »? Les participants ont adhéré aux propos de la Ministre luxembourgeoise selon lesquels « il faut repenser la prévention » qui doit être multidimensionnelle et adaptée aux différents contextes.
AG/11087
« C’est parce qu’aucun pays, aussi puissant soit-il, ne peut à lui seul résoudre un problème tel que le VIH/sida, qu’il est urgent de réfléchir à une nouvelle définition de la solidarité », a déclaré ce matin, M. Michel Sibidé, Directeur exécutif du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA).
AG/11086
« Nous nous réunissons pour mettre fin au VIH/sida », a d’emblée déclaré le Secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki-moon, qui a fixé dans son rapport* l’objectif du « triple zéro » à savoir « zéro nouvelle infection, zéro discrimination et zéro mort due au sida ». Le Secrétaire général a voulu que l’on affronte « avec audace » les questions sensibles des hommes qui ont des rapports sexuels avec d’autres hommes, des toxicomanes et du commerce du sexe.
ENV/DEV/1217-MER/1950
La conservation et la gestion de la biodiversité en haute mer et dans les fonds marins internationaux est une question particulièrement complexe car ces zones sont considérées comme le « patrimoine commun de l’humanité » dont les ressources biologiques peuvent, à ce jour, être exploitées par n’importe qui au risque de les épuiser. Les océans, qui couvrent trois-quarts de la planète, représentent à peu près 80% de la biodiversité mondiale.