La Commission de la condition de la femme a poursuivi, ce matin, sa discussion générale, l’occasion pour les ministres participants de braquer une fois de plus les projecteurs sur le fléau des violences sexuelles et sexistes, en forte progression en cette période de pandémie.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil économique et social
La Commission de la condition de la femme a débattu, ce matin, de la participation et du leadership des femmes en matière de riposte à la COVID-19 et de relèvement.
Au troisième jour des travaux de sa soixante-cinquième session, la Commission de la condition de la femme a examiné, aujourd’hui, dans le cadre d’un dialogue interactif, l’épineuse question de la violence sexiste dans la sphère publique et de son impact sur le respect des droits, la démocratie et les processus électoraux.
Au deuxième jour de sa soixante-cinquième session, la Commission de la condition de la femme s’est penchée, aujourd’hui, sur les bonnes pratiques et les moyens de créer un environnement propice à la pleine participation des femmes à la prise de décisions dans la sphère publique à l’occasion de deux tables rondes ministérielles.
« La pandémie a offert aux hommes une occasion de plus d’accaparer la prise de décisions », a déploré, ce matin, le Secrétaire général à l’ouverture des travaux la Commission de la condition de la femme.
On trouvera ci-après le discours du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, prononcée à l’ouverture de la soixante-sixième session de la Commission de la condition de la femme, à New York, aujourd’hui:
Au cours d’une brève réunion, tenue dans la salle de l’Assemblée générale cet après-midi, le Conseil économique et social (ECOSOC) a procédé à des élections à certains de ses organes subsidiaires et décidé que, pendant sa session de 2021, ses organes de session et ses organes subsidiaires peuvent appliquer mutatis mutandis la procédure énoncée dans la décision 2020/205 du 3 avril 2020, intitulée « Procédure de prise de décision du Conseil économique et social pendant la pandémie de maladie à coronavirus (COVID-19 ».
La Commission du développement social a achevé, ce matin, les travaux de sa cinquante-neuvième session en adoptant par consensus une série de projets de résolution, dont un texte qui exhorte notamment les États Membres à combler la fracture numérique et à s’efforcer de parvenir à une connectivité universelle pour que chaque personne ait un accès abordable à un Internet à haut débit de qualité d’ici à 2030.
Cyberharcèlement, exploitation des enfants, creusement du fossé numérique, intelligence artificielle – la conclusion, aujourd’hui, du débat général de la Commission du développement social a vu de nombreux États Membres et organisations non-gouvernementales (ONG) insister sur la « face sombre » du numérique.
La Commission du développement social a poursuivi, aujourd’hui, son débat général, l’occasion, une fois de plus, pour les délégations d’exprimer leurs vues sur le thème prioritaire de cette session, tout en mettant en avant leurs propres réalisations en matière de transformation numérique, dans des contextes plus ou moins favorables.