Nommé en août dernier Envoyé spécial du Secrétaire général pour le Yémen, M. Hans Grundberg a demandé ce matin, lors de son exposé sur la situation au Yémen, le soutien des membres du Conseil de sécurité pour l’aider à accomplir son objectif de parvenir à un accord sur la voie à suivre pour ramener la paix dans ce pays.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
À l’approche du cinquième anniversaire, le 24 novembre prochain, de la signature de l’Accord final pour la fin du conflit et la construction d’une paix stable et durable entre le Gouvernement colombien et les anciennes Forces armées révolutionnaires de Colombie-Armée populaire (FARC-EP), le Représentant spécial et Chef de la Mission de vérification des Nations Unies en Colombie, M. Carlos Ruiz Massieu, a tiré, cet après-midi, devant le Conseil de sécurité, un bilan positif de la première phase de mise en œuvre.
Le 1er octobre 2021, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite à la résolution 751 (1992) sur la Somalie (« le Comité ») a entendu, dans le cadre de consultations, un exposé du Groupe d’experts sur la Somalie sur son rapport final, soumis en application du paragraphe 34 de la résolution 2551 (2020).
On trouvera, ci-après, le texte de l’allocution du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, prononcée lors du débat public ministériel au Conseil de sécurité consacré à la « Consolidation de la paix et paix durable: diversité, édification de l’État et recherche de la paix », à New York, aujourd’hui:
Le Conseil de sécurité a tenu aujourd’hui, sous la houlette du Président du Kenya, M. Uhuru Kenyata, un débat sur la consolidation de la paix, avec un accent sur « la diversité, l’édification de l’État et la recherche de la paix ». Le Président rwandais, M. Paul Kagame, a en profité pour expliquer que le Rwanda post-génocide est marqué par une attention constante à l’unité nationale et à l’inclusivité. Aucun processus de paix ne peut réussir sans une implication de toutes les composantes de la société, ont dit en écho les autres intervenants, dont la Vice-Présidente du Parlement afghan et l’ancien Président de l’Afrique du Sud et Président de la Fondation Thabo Mbeki.
À l’occasion de l’examen du rapport biennal du Secrétaire général sur les armes légères et de petit calibre, le Conseil de sécurité s’est vu invité aujourd’hui à « pleinement » intégrer la question du trafic et du flux illicites d’armes légères et de petit calibre (ALPC) dans ses travaux et à agir pour éviter que les armes utilisés par les Casques bleus dans les opérations de paix ne tombent entre des mains étrangères et ne finissent par contribuer à un tel trafic et à ses désastreuses conséquences, notamment humanitaires.
Pour nous la question est très simple: L’Éthiopie n’a pas le droit d’expulser des membres du personnel de l’ONU et en le faisant, elle viole le droit international, a martelé aujourd’hui le Secrétaire général lors de la réunion que le Conseil de sécurité a tenue, à la demande de plusieurs États, après l’expulsion, le 30 septembre dernier, de sept fonctionnaires de l’ONU dont les responsables en Éthiopie du Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA), du Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) et du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme.
Alors que la prorogation du mandat de la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO) doit bientôt être mise aux voix, le Conseil de sécurité devrait approuver le plan de transition du Secrétaire général, ce dernier reposant en partie sur la capacité des autorités congolaises à financer et créer les conditions nécessaires au retrait de la Mission, a estimé, ce matin, la Représentante spéciale du Secrétaire général et Cheffe de la Mission, Mme Bintou Keïta.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois d’octobre, M. Martin Kimani (Kenya):
Exprimant leur lassitude devant un dossier qui n’avance pas, la majorité des membres du Conseil de sécurité ont exigé, cet après-midi, davantage de coopération de la part de la République arabe syrienne en vue de la mise en œuvre de ses obligations découlant de la Convention sur l’interdiction des armes chimiques et de la résolution 2118 (2013) du Conseil.