En cours au Siège de l'ONU

Questions de genre et de femmes


FEM/1893
Le troisième jour du débat général de la Commission de la condition de la femme a été l’occasion pour de nombreuses délégations d’évoquer les bienfaits qu’apportent les associations de femmes rurales, mais également de dénoncer l’insuffisance des politiques adoptées à ce jour du fait notamment de l’absence des femmes durant leur élaboration.
FEM/1892
La trentaine de ministres, représentantes et déléguées qui se sont exprimés ont ainsi mis l’accent sur la nécessité de promouvoir et de renforcer le rôle des femmes rurales dans la lutte contre l’élimination de la faim et la pauvreté, et ce, en investissant davantage dans l’éducation, dans les infrastructures et en leur garantissant aussi un accès à la propriété, aux services financiers, ainsi qu’à des services de soins et d’aide dans l’accomplissement des charges familiales et domestiques.
FEM/1890
La Commission de la condition de la femme a ouvert, aujourd’hui les travaux de sa cinquante-sixième session dont le thème principal a trait à l’autonomisation des femmes rurales, qualifiées d’« épine dorsale de la sécurité alimentaire et nutritionnelle », « force essentielle dans la promotion du développement » et « moteur du changement » dans les zones rurales.
FEM/1889
« L’autonomisation de la femme rurale, son rôle dans l’élimination de la pauvreté et le développement durable » est le thème choisi pour la cinquante-sixième session de la Commission de la condition de la femme qui ouvre ses portes lundi 27 février au Siège de l’ONU, à New York. La session, qui devrait se terminer le 9 mars, contribuera à d’autres fora politiques, dont la Conférence Rio+20, en juin 2012.
FEM/1876
Le Comité est chargé d’examiner la mise en œuvre par les 187 États parties à la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes qui, outre le préambule, comprend 30 articles. Les États sont tenus de présenter, tous les quatre ans, un rapport sur l’application nationale de la Convention.
FEM/1875
L’examen, aujourd’hui, du quatrième rapport périodique de Singapour sur la mise en œuvre de la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (CEDAW) a suscité de nombreuses questions de la part des 23 experts du Comité du même nom qui ont, entre autres, dénoncé une définition « étroite » de la traite des êtres humains et l’absence d’une commission nationale des droits de l’homme.
FEM/1874
L’ensemble des experts ont salué les progrès considérables engrangés depuis 1999, dans un pays de près de 700 000 habitants qui n’a accédé à l’indépendance qu’en 1977. Mais devant leur impatience, la Ministre de la promotion de la femme et du planning familial, qui a présenté les rapports de son pays sur la mise en œuvre de la CEDAW, a reconnu des « pesanteurs sociales » persistantes malgré l’évolution juridique et les mesures de discrimination positive.
FEM/1873
Les 23 experts du Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes (CEDEF) ont salué aujourd’hui les efforts déployés par le Népal pour favoriser l’égalité entre les sexes, tout en prévenant que sans mesure de suivi, aucun progrès majeur ne sera enregistré, en particulier dans la lutte contre la violence faite aux femmes.
FEM/1872
Le septième rapport périodique (2006-2009) de la République de Corée sur la mise en œuvre de la « Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (CEDAW), ratifiée, en 1984, a permis aux experts de relever que 63,4% des femmes coréennes n’avaient pas d’emploi régulier et qu’elles n’occupaient que 12% des sièges au Parlement et 20% dans les assemblées locales.
FEM/1871
Les experts du Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes (CEDEF) ont salué, aujourd’hui, l’engagement « sincère » du Gouvernement de l’Éthiopie en matière de parité, sans pour autant cacher leurs nombreuses préoccupations face à la situation actuelle des Éthiopiennes, « les femmes les plus exposées au monde à toutes les formes de violence », notamment la violence sexiste, le mariage forcé à un âge précoce et les mutilations génitales.