La Conférence qui se réunit depuis mardi sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité en haute mer, dans le but d’élaborer un traité juridiquement contraignant, a examiné aujourd’hui l’un des quatre thèmes prévus, « le renforcement des capacités et le transfert des technologies marines ».
En cours au Siège de l'ONU
Océans et droit de la mer
« Un océan, une planète, un traité », c’est ainsi que la représentante de l’Alliance de la haute mer a résumé l’enjeu de la Conférence qui a ouvert ses portes hier pour entamer les travaux sur un futur traité pour la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité en haute mer.
C’est devant une salle comble que Mme Rena Lee, la Présidente de la Conférence intergouvernementale sur un instrument international juridiquement contraignant se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale, a souhaité, ce matin, la bienvenue aux nombreuses délégations et organisations qui ont répondu présent, pour la première session de fond de la Conférence qui en prévoit quatre d’ici à 2020.
NEW YORK (Division des affaires maritimes et du droit de la mer, Bureau des affaires juridiques) – La Commission des limites du plateau continental tiendra sa quarante-septième session du 16 juillet au 31 août 2018. Les travaux en séances plénières se tiendront du 6 au 10 août et du 27 au 31 août.
NEW YORK, 18 juin (Division des affaires maritimes et du droit de la mer du Bureau des affaires juridiques) -- La vingt-huitième Réunion des États parties à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer a eu lieu les 11 et 12 juin 2018 à New York, au Siège des Nations Unies, et s’est achevée deux jours plus tôt que prévu.
On trouvera ci-après le message du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à l’occasion de la Journée mondiale de l’océan, célébrée le 8 juin:
La vingt-huitième réunion des États parties à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer se déroulera du 11 au 14 juin au Siège des Nations Unies à New York.
Après trois jours de débats sur l’organisation de la Conférence intergouvernementale censée aboutir en 2020 à « un instrument juridiquement contraignant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale », la Présidente de la Conférence, Mme Rena Lee, de Singapour, a salué, ce matin, « l’esprit de coopération » qui a prévalu et la « souplesse » dont ont fait preuve les délégations
Au deuxième jour de la réunion d’organisation de la Conférence intergouvernementale censée aboutir en 2020 à « un instrument juridiquement contraignant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale », les délégations sont parvenues à un consensus sur la composition du Bureau de la Conférence, les quatre grands axes thématiques des futures négociations et la date de publication d’un avant-projet de texte pour guider les délibérations.
Qualifiée par de nombreuses délégations d’« historique », la Conférence intergouvernementale censée aboutir en 2020 à « un instrument juridiquement contraignant sur la conservation et l’utilisation durables de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale » a entamé, ce matin, ses trois jours de discussions sur les modalités des futures négociations.