Les délégations qui prennent part à la troisième session de la Conférence intergouvernementale sur la biodiversité marine ont progressé aujourd’hui sur les négociations du futur « instrument international juridiquement contraignant se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale ».
En cours au Siège de l'ONU
Océans et droit de la mer
Au quatrième jour du nouveau cycle de négociations intergouvernementales pour l’élaboration d’un instrument international sur la protection de la biodiversité marine, les débats ont été animés, ce matin, par le Groupe de travail officieux sur les études d’impact sur l’environnement, lesquelles constituent l’un des principaux volets du futur accord.
De nombreuses propositions ont marqué les discussions de ce matin, au sein du Groupe de travail officieux sur « les mesures telles que les outils de gestion par zone, y compris les aires marines protégées », alors que la Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale entamait le troisième jour de son avant-dernière session de négociation.
NEW YORK, 20 août (Division des affaires maritimes et du droit de la mer, Bureau des affaires juridiques) -- La Commission des limites du plateau continental a tenu sa cinquantième session du 1er juillet au 16 août 2019.
Au second jour du nouveau cycle de négociations intergouvernementales pour l’élaboration d’un instrument international sur la protection de la biodiversité marine, les délégations ont débattu des modalités du transfert des techniques marines aux pays en développement et du renforcement des capacités de ces derniers, soit l’un des principaux volets du futur traité.
« Il est temps d’identifier notre destination et de mener les travaux à bon port », a déclaré, ce matin, la Présidente de la Conférence intergouvernementale censée aboutir à un instrument international juridiquement contraignant « se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale ».
La Commission des limites du plateau continental tiendra sa cinquantième session du 1er juillet jusqu’au 16 août 2019. Les séances plénières sont prévues du 29 juillet au 2 août et du 13 au 16 août.
La vingt-neuvième Réunion des États parties à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer s’est tenue au Siège des Nations Unies du 17 au 19 juin 2019.
Le Secrétaire général participera, dans l’après-midi du 17 juin, à l’ouverture de la vingt-neuvième Réunion des États parties à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer pour marquer le vingt-cinquième anniversaire de l’entrée en vigueur de ce texte souvent désigné comme la « Constitution des océans ».
Entamée le 25 mars dernier, la deuxième session de fond de la Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer, et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des « zones ne relevant pas de la juridiction nationale », a pris fin cet après-midi.