
Comme la veille, la Commission de la condition de la femme a tenu, ce matin, un débat ministériel sur l’égalité des genres et l’autonomisation des femmes et des filles, l’occasion pour les intervenants de présenter les mécanismes, législations et partenariats mis en place au niveau national pour traduire dans les faits le Programme d’action de Beijing, 30 ans après son adoption, et ainsi contribuer à la réalisation des objectifs de développement durable (ODD).
Au deuxième jour de sa soixante-neuvième session, la Commission de la condition de la femme a tenu, ce matin, un débat ministériel sur le thème « mécanismes nationaux pour l’égalité des genres et l’avancement des femmes et des filles: renouveler l’engagement de mettre en œuvre le Programme d’action de Beijing, mobiliser les ressources à cet effet et accélérer cette mise en œuvre, en vue également de contribuer à la réalisation des objectifs de développement durable ».
La Commission de la condition de la femme a donné, aujourd’hui, le coup d’envoi de sa soixante-neuvième session en adoptant une déclaration politique qui réaffirme l’engagement pris voilà 30 ans lors de l’adoption à l’unanimité de la Déclaration et du Programme d’action de Beijing.
On trouvera, ci-après, le texte de l’allocution du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, prononcée à l’occasion de l’ouverture de la soixante-neuvième session de la Commission de la condition de la femme, à New York, aujourd’hui: