L’importance de disposer d’indicateurs « spécifiques aux autochtones » qui s’appuient sur l’expérience des indicateurs de développement humain a été soulignée, aujourd’hui, par de nombreux participants aux différentes discussions de l’Instance permanente sur les questions autochtones.
En cours au Siège de l'ONU
Droits humains
Plusieurs experts de l’Instance permanente sur les questions autochtones ont, aujourd’hui, insisté sur le rôle primordial des autochtones dans la lutte pour éliminer la faim sur une planète qui, d’ici 2030, comptera neuf milliards d’habitants.
L’Instance permanente sur les questions autochtones a entendu, ce matin, de nombreuses interventions d’experts, de représentants d’États Membres et de peuples autochtones sur les moyens de renforcer l’efficacité de l’Instance dans l’intérêt de la promotion des droits des peuples autochtones.
Le Vice-Secrétaire général de l’ONU, M. Jan Eliasson, et le Président de la soixante-dixième session de l’Assemblée générale, M. Sam Kutesa, ont reconnu, ce matin, à l’ouverture de la quatorzième session annuelle de l’Instance permanente sur les questions autochtones l’importance majeure des connaissances et sagesses des populations autochtones pour réaliser les objectifs de développement durable.
On trouvera ci-après le message du Secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki-moon, à l’occasion du Festival du film et du Forum international sur les droits humains tenus à Genève le 27 février, sur le thème « La guerre entre Israël et Gaza: Quelle chance pour la paix ? » Le message du Secrétaire général a été lu par le Directeur général par intérim de l’Office des Nations Unies à Genève, M. Michael Møller: