La défense des plus pauvres, des migrants, des minorités et des femmes a été, aujourd’hui, au centre des discussions de la Troisième Commission où plusieurs intervenants ont déploré un manque de volonté politique en leur faveur.
La défense des plus pauvres, des migrants, des minorités et des femmes a été, aujourd’hui, au centre des discussions de la Troisième Commission où plusieurs intervenants ont déploré un manque de volonté politique en leur faveur.
À deux jours des élections parlementaires qui doivent se dérouler en Ukraine, le Conseil de sécurité a été informé, ce matin, d’une situation humanitaire et sécuritaire toujours préoccupante dans l’est du pays, où des violations répétées des engagements pris en vertu du Protocole, signé à Minsk le 5 septembre dernier, pour mettre fin au conflit opposant forces gouvernementales et militants sécessionnistes, continuent d’être signalées.
Avant d’adopter, sans vote, un projet de résolution saluant les travaux du Comité scientifique des Nations Unies pour l’étude des effets des rayonnements ionisants, la Quatrième Commission chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation a entendu, cet après-midi, plusieurs délégations balayer les craintes liées à l’élargissement du Comité.
La Première Commission chargée du désarmement et de la sécurité internationale a entamé ce matin son débat thématique consacré aux armes de destruction massive, au cours duquel elle a entendu 19 délégations qui ont toutes exprimé leur rejet de ce type d’armes. La communauté internationale devait tirer des leçons des deux guerres mondiales qui ont fait des millions de morts, causés notamment par des armes chimiques, a estimé la représentante du Qatar.
Le Conseil de sécurité a débattu, aujourd’hui, des solutions à apporter à ses méthodes de travail afin d’améliorer l’efficacité de son action. L’Argentine, qui préside le Conseil pour le mois d’octobre, a fait de ce débat le temps fort de son programme de travail, en mettant l’accent sur le renforcement de la légalité du régime de sanctions du Conseil et l’interaction entre celui-ci et la Cour pénale internationale (CPI).
Après avoir adopté deux projets de résolution sur la question de Gibraltar et la coopération internationale touchant les utilisations pacifiques de l’espace, la Quatrième Commission chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation a achevé son débat sur les questions relatives à l’information au cours duquel la question du multilinguisme a, encore une fois, dominé. Le « Groupe des Amis de la langue espagnole au sein des Nations Unies » a demandé des solutions novatrices pour parvenir au multilinguisme dans la production du Département de l’information de l’ONU (DPI).
La Première Commission chargée du désarmement et de la sécurité internationale a poursuivi ce matin son débat thématique sur les armes conventionnelles en entendant 26 délégations. L’occasion pour la majorité d’entre elles de se féliciter de la rapidité du processus de ratification du Traité sur le commerce des armes qui permettra son entrée en vigueur dès le mois de décembre prochain.
Les délégations qui se sont exprimées aujourd’hui devant la Commission économique et financière (Deuxième Commission) au cours du débat consacré aux groupes de pays en situation particulière ont souligné qu’il est indispensable que la communauté internationale accorde plus d’attention aux difficultés économiques, financières et commerciales que rencontrent les pays les moins avancés (PMA), les petits États insulaires en développement (PEID) et les pays en développement sans littoral.
Les délégations de la Troisième Commission se sont livrées, aujourd’hui, à un débat intense avec pas moins de sept rapporteurs spéciaux des droits de l’homme, traitant de questions telles que celles sur la liberté d’expression des enfants, la liberté de religion ou les répercussions liées à la surveillance numérique, cette dernière, ont souligné certaines, étant de nature à présenter un risque pour la sécurité des États.
La Sixième Commission, chargée des questions juridiques, a adopté aujourd’hui, sans vote, deux projets de résolution qui ouvrent la voie à l’octroi du statut d’observateur auprès de l’Assemblée générale à deux organisations internationales: l’Organisation de coopération économique du groupe de huit pays en développement (le D-8) et la Communauté du Pacifique. Les candidatures du D-8 et de la Communauté du Pacifique avaient été examinées et discutées le 14 octobre.