L’espace extra-atmosphérique est un « bien commun de l’humanité » qui, à ce titre, doit rester accessible aux activités pacifiques de tous les États, qui doivent pouvoir tirer des bénéfices de son potentiel de manière égalitaire, a déclaré ce matin le représentant de la République islamique d’Iran devant la Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation.
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a entendu, cet après-midi, plusieurs délégations s’inquiéter de la masse des quotes-parts non acquittées au budget ordinaire de l’ONU et à celui des opérations de maintien de la paix. La Commission a aussi examiné plusieurs autres points dont les états financiers vérifiés de 19 entités du système des Nations Unies et l’administration de la justice.
La Première Commission, chargée du désarmement et de la sécurité internationale, a consacré l’essentiel de sa séance de cet après-midi aux principaux mécanismes de désarmement en entendant leurs responsables dresser le bilan de leurs activités, avant d’ouvrir son débat thématique consacré aux armes nucléaires.
Le représentant de la Thaïlande, au nom de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (ASEAN), a mis l’accent ce matin sur le potentiel des sciences spatiales dans le développement durable pour l’après-2015.
La Troisième Commission a entamé, cet après-midi, son débat sur la promotion et la protection des droits de l’enfant, l’occasion pour les délégations d’entendre cinq experts qui ont dressé un tableau mitigé de la situation.
« L’élimination de toutes les armes nucléaires est la seule garantie pour notre survie », a déclaré le représentant de Saint-Marin, résumant la plupart des déclarations entendues cet après-midi devant la Première Commission, chargée des questions de désarmement et de sécurité internationale. Pour nombre de délégations, en effet, ces armes continuent de représenter la plus grande menace à laquelle l’humanité est confrontée.
Le programme de développement pour l’après-2015 devra être « transformateur », c’est-à-dire qu’il devra produire des avantages tangibles et améliorer la vie de toutes les populations de la planète. C’est ce qu’ont exigé aujourd’hui les 29 délégations qui ont participé au débat sur le développement durable au cours de l’examen de ce thème de son ordre du jour, qui comprend pas moins de neuf questions, par la Commission économique et financière (Deuxième Commission).
La Sixième Commission (chargée des questions juridiques) a débattu, aujourd’hui, de la question de la portée et l’application du principe de compétence universelle. De nombreuses délégations, comme la Norvège, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, le Qatar, la Tunisie, le Congo, le Burkina Faso et le Rwanda, ont déclaré qu’elles attachaient la plus haute importance au principe de la compétence universelle.
Conscientes que « c’est dans les villes que la bataille pour le développement durable sera gagnée ou perdue », des délégations de la Commission économique et financière (Deuxième Commission) ont souhaité, ce matin, que les questions d’urbanisation durable soient introduites dans le futur programme de développement pour l’après-2015, afin « d’exploiter le pouvoir transformationnel des villes ».
Le Président du Comité des commissaires aux comptes (CCC) a accusé le Secrétariat de l’ONU d’avoir un processus d’élaboration du budget « trop long, trop cher et trop peu stratégique ». M. Amyas Morse parlait devant la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires qui a aussi examiné aujourd’hui le rapport du Corps commun d’inspection (CCI) sur les partenaires d’exécution des organismes des Nations Unies et celui du Secrétaire général sur l’état d’avancement de la construction des nouveaux bureaux de la Commission économique pour l’Afrique (CEA).