Si le régime mondial de non-prolifération des armes de destruction massive a marqué des avancées en 2016, plusieurs membres du Conseil ont affirmé, ce matin, que de telles armes continuaient de poser, de la Syrie à la péninsule coréenne, de graves menaces à la paix et à la sécurité internationales.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
Le Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, a souligné, ce matin, devant le Conseil de sécurité, l’importance de la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée et d’une coopération accrue pour lutter contre les nombreuses formes que revêt la traite d’êtres humains, dont les victimes sont autant les femmes vendues sur le marché aux esclaves de Daech, les migrants aux mains de réseaux criminels, les travailleurs domestiques exploités que les forçats qui bâtissent « les étincelants gratte-ciel » modernes.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de mars, M. Matthew Rycroft (Royaume-Uni):
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de mars, M. Matthew Rycroft (Royaume-Uni):
De retour du Yémen, du Soudan du Sud et de Somalie, le Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires et Coordonnateur des secours d’urgence, M. Stephen O’Brien, a expliqué, devant le Conseil de sécurité, que l’aggravation de la crise humanitaire dans ces trois pays est la conséquence directe des conflits qui y sévissent.
Deux jours après l’attaque perpétrée contre un hôpital militaire à Kaboul qui a tué 49 personnes, auxquelles le Conseil a rendu hommage, ce matin, en observant une minute de silence, le Représentant spécial du Secrétaire général pour l’Afghanistan, M. Tadamichi Yamamoto, a indiqué que les pays voisins étaient davantage prêts à appuyer les efforts de paix.
Le Conseiller spécial du Secrétaire général, M. Jamal Benomar, a estimé, ce matin, devant le Conseil de sécurité, que la tentative du Président du Burundi, M. Pierre Nkurunziza, de briguer en 2020 un quatrième mandat risquerait d’intensifier la crise dans ce pays, de saper les efforts visant à la régler et d’accroître l’isolement international du Burundi.
Tout juste de retour d’une mission dans le bassin du lac Tchad, la délégation que le Conseil de sécurité avait dépêchée du 1er au 7 mars dans cette région déshéritée a, ce matin, fait rapport sur les défis qui se posent au Cameroun, au Tchad, au Niger et au Nigéria, en particulier la menace que fait peser sur les populations civiles Boko Haram.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de mars, M. Matthew Rycroft (Royaume-Uni):
Le 8 mars 2017, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1518 (2003) a approuvé le retrait de l’entité ci-après de la Liste des personnes et entités visées par le gel des avoirs prévu au paragraphe 23 de la résolution 1483 (2003) du Conseil de sécurité, adoptée en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies.