On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de mai, M. Sven Jürgenson (Estonie):
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
Vingt-cinq ans après l’Accord-cadre général pour la paix en Bosnie-Herzégovine, conclu à Dayton en novembre 1995, et signé, un mois plus tard, à Paris, le Haut-Représentant pour le pays, M. Valentin Inzko, a aujourd’hui devant le Conseil de sécurité et à l’aune du soixante-quinzième anniversaire de la Seconde Guerre mondiale, exhorté les autorités bosniennes à s’inspirer de la réconciliation franco-allemande, les deux plus grands ennemis de l’époque, devenus piliers de l’Union européenne et de la paix et de la stabilité dans le monde.
Le 5 mai 2020, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2127 (2013) concernant la République centrafricaine a modifié l’entrée correspondant à la personne ci-après sur sa liste d’individus et d’entités visés par des sanctions (modifications soulignées):
« La justice ne peut progresser davantage sans l’arrestation et la remise des suspects à la CPI » a conclu, ce matin, la Procureure de la Cour pénale internationale (CPI), lors de sa présentation au Conseil de sécurité du dix-neuvième rapport de la Cour sur la situation en Libye
Le Président du Conseil de sécurité pour le mois de mai et Représentant permanent de l’Estonie, M. Sven Jürgenson, a espéré, cet après-midi, lors de sa conférence de présentation du programme du Conseil pour ce mois, l’adoption d’une résolution sur la pandémie de COVID-19, alors qu’un projet, en cours de discussion, fait toujours l’objet de divergences marquées entre « deux membres »
Le 29 avril 2020, Dian Triansyah Djani, Ambassadeur et Représentant permanent de l’Indonésie auprès de l’Organisation des Nations Unies et Président du Comité 1540, a présenté, au nom du Comité, un exposé au Conseil de sécurité sur la résolution 1540 et sur l’examen approfondi qui est actuellement mené sur l’application de cette dernière (S/2020/347).
Le Coordonnateur des secours d’urgence a déclaré, ce matin, devant le Conseil de sécurité, que la nécessité de se préparer à la pandémie de COVID-19 rend encore plus urgente l’accélération de l’acheminement humanitaire en Syrie, par les postes frontières et les routes franchissant les lignes de conflit.
L’Envoyé spécial pour la Syrie, M. Geir Pedersen, a indiqué, ce matin devant le Conseil de sécurité, qu’il existe la possibilité « d’efforts communs » de la part des acteurs clefs en Syrie afin de préserver le calme « significatif » qui règne depuis début mars, d’accroître la riposte à la pandémie de COVID-19 et d’aboutir in fine à des progrès politiques en vue d’un règlement du conflit.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois d’avril, M. José Singer Weisinger (République dominicaine):
Le Groupe de travail du Conseil de sécurité sur les enfants et les conflits armés est convenu d’adresser, à l’occasion de l’examen du quatrième rapport du Secrétaire général sur le sort des enfants dans le conflit armé en Afghanistan (S/2019/727), sous la forme d’une déclaration publique de son président, le message suivant :