« Le Yémen ne peut pas faire face à deux fronts en même temps: la guerre et la pandémie de COVID-19 », a prévenu l’Envoyé spécial du Secrétaire général, M. Martin Griffiths, qui, avec le Coordonnateur des secours d’urgence de l’ONU, M. Mark Lowcock, a parlé aujourd’hui au Conseil de sécurité de l’évolution du conflit yéménite.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
Le Groupe de travail du Conseil de sécurité sur les enfants et les conflits armés a décidé, à l’occasion de l’examen du quatrième rapport du Secrétaire général sur le sort des enfants en temps de conflit armé en République centrafricaine (S/2019/852), d’adresser, sous la forme d’une déclaration publique de son président, le message suivant:
« Il faut aller de l’avant avec la pleine mise en œuvre de l’Accord de paix, y compris les trois priorités que le Secrétaire général a soulignées dans son rapport », a exhorté le Chef de la Mission de vérification des Nations Unies en Colombie, le Représentant spécial Carlos Ruiz Massieu, qui présentait aujourd'hui ce rapport au Conseil de sécurité, en pleine pandémie de COVID‑19.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois d’avril, M. José Singer Weisinger (République dominicaine):
Le Groupe de travail du Conseil de sécurité sur le sort des enfants en temps de conflit armé, à l’occasion de l’examen du deuxième rapport du Secrétaire général sur les enfants et le conflit armé au Yémen (S/2019/453), est convenu d’adresser, sous la forme d’une déclaration publique de son Président, le message qui suit:
Le Conseil de sécurité a examiné ce mardi 7 avril la situation au Mali, y compris les activités de la Mission multidimensionnelle des Nations Unies pour la stabilisation dans le pays (MINUSMA).
Le 2 mars 2020, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2374 (2017) concernant le Mali a entendu, dans le cadre de consultations, des déclarations de représentants du Mali et d’États de la région. Au cours de la réunion, le représentant du Mali a rappelé que le Conseil de sécurité avait mis en place le régime de sanctions –à la demande du Gouvernement malien– à seule fin de disposer d’un instrument supplémentaire pour accélérer la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali conclu en 2015.
Le Président du Conseil de sécurité pour le mois d’avril et Envoyé spécial de la République dominicaine, M. José Singer Weisinger, a indiqué, cet après-midi, lors de sa conférence de présentation du programme du Conseil pour ce mois, que ses membres sont « déterminés » à poursuivre leurs travaux en ces temps « extraordinaires » et « extrêmement difficiles » de pandémie de COVID-19.
Le Conseil de sécurité a examiné hier la situation en Afghanistan marquée par l’impasse politique après la proclamation des résultats de l’élection présidentielle et par la menace de la COVID-19.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois d’avril, M. José Singer Weisinger (République dominicaine):