L’éradication de la pauvreté sous toutes ses formes et dimensions, y compris l’extrême pauvreté, demeure le plus grand défi mondial et une condition essentielle pour le développement durable, ont estimé les délégations de la Deuxième Commission, chargée des questions économiques et financières, dont celle de la Thaïlande qui s’exprimait au nom du Groupe des 77 et la Chine (G77).
En cours au Siège de l'ONU
Deuxième Commission
Les technologies de l’information et des communications (TIC) peuvent jouer un rôle majeur dans la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030, ont estimé, cet après-midi, de nombreux intervenants devant la Commission économique et financière (Deuxième Commission), au cours de son débat sur « les technologies de l’information et des communications au service du développement ».
Des délégations de la Deuxième Commission, chargée des questions économiques et financières, ont insisté, ce matin, sur l’importance de la lutte contre la pauvreté en vue de parvenir à un développement durable inclusif.
La Deuxième Commission, chargée des questions économiques et sociales, a tenu, ce matin, sa traditionnelle séance conjointe avec le Conseil économique et social (ECOSOC), avec la participation d’experts pour débattre du thème « L’évolution de l’économie politique de la mondialisation: les institutions multilatérales et le Programme 2030 ».
Les délégations de la Deuxième Commission (économique et financière) ont tenu, aujourd’hui, un débat sur les activités opérationnelles de développement du système des Nations Unies. Elles ont estimé que l’ONU devrait en repenser la conception et la mise en œuvre pour réagir de manière stratégique et mieux aligner le système sur le Programme de développement durable à l’horizon 2030.
La deuxième et dernière journée du débat général de la Deuxième Commission (Commission économique et financière) a été marquée par de nombreuses propositions sur les moyens de mise œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030.
Le Programme de développement durable à l’horizon 2030, le Programme d’action d’Addis-Abeba, l’Accord de Paris sur le climat, et le Cadre de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe sont des « instruments multilatéraux historiques » adoptés en 2015, ont souligné de nombreuses délégations, à l’occasion du premier jour de débat général de la Deuxième Commission (Commission économique et financière). La mise en œuvre des engagements pris dans le cadre de ces documents doit être au centre des travaux de la présente session, ont-elles insisté.
« S’attaquer aux déséquilibres mondiaux pour réaliser le Programme de développement durable à l’horizon 2030 », c’est le thème qu’a choisi cette année pour son débat général la Deuxième Commission chargée des questions économiques et financières pour son débat général. Entre le 3 octobre et le 23 novembre, la Commission examinera un ordre du jour de 12 points et d’une cinquantaine de rapports articulés autour de la promotion d’une croissance économique et d’un développement durable.*
La Deuxième Commission (économique et financière) a achevé, ce matin, les travaux de sa soixante-dixième session, sur une note de déception partagée par certaines délégations qui s’inquiètent de sa capacité à contribuer efficacement à la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030 quand, ont-elles fait remarquer, elle n’est pas en mesure d’améliorer ses propres méthodes de travail.
En achevant aujourd’hui ses travaux, dans le cadre de la soixante-dixième session de l’Assemblée générale, la Commission économique et financière (Deuxième Commission) a adopté 18 projets de résolution qui incitent à prendre des mesures en faveur d’un développement équitable et harmonieux de tous les pays, en veillant à ce que personne ne soit laissé de côté. Ces textes réaffirment les engagements pris, au cours des grandes conférences ou sommets, à Sendai, Addis-Abeba, New York et Paris, qui ont marqué l’année 2015. La Commission a aussi adopté son programme de travail provisoire pour la prochaine session.