La Quatrième Commission (questions politiques spéciales et de la décolonisation) a poursuivi, cet après-midi, son débat général sur la décolonisation, avant de commencer les auditions de représentants de territoires non autonomes et de pétitionnaires. Elle a ainsi entendu les représentants de l’Espagne, le Président de la Polynésie française, le Ministre principal de Gibraltar, le porte-parole du Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie, ainsi que des pétitionnaires qui avaient demandé à s’exprimer sur la question de la Polynésie française, de Gibraltar, de la Nouvelle-Calédonie, des Îles Falkland/Malvinas et des Îles Vierges américaines.
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
« En affirmant notre attachement au développement durable et à ses objectifs, nous reconnaissons que la discrimination n’est pas envisageable. » À l’instar du Secrétaire général adjoint aux affaires économiques et sociales, M. Wu Hongbo, les États Membres ont rappelé, aujourd’hui, lors du débat général consacré au développement social qui ouvrait les travaux de la Troisième Commission, qu’un engagement central du Programme de développement durable à l’horizon 2030 était de ne laisser personne de côté.
Depuis le dernier examen de la question du terrorisme international par la Commission il y a un an, le monde n’a cessé d’être le témoin d’atrocités terroristes et ce fléau de nature insidieuse et délétère menace chacun d’entre nous. Face à ce constat, l’ONU apparait comme le cadre idoine de lutte et pourtant, les États Membres ne parviennent pas à s’entendre sur l’élaboration d’un projet de convention générale sur le terrorisme, ont une nouvelle fois constaté les délégations qui se sont exprimées aujourd’hui à la Sixième Commission au deuxième jour de son débat sur « les mesures visant à éliminer le terrorisme international ».
La deuxième et dernière journée du débat général de la Deuxième Commission (Commission économique et financière) a été marquée par de nombreuses propositions sur les moyens de mise œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030.
Aujourd’hui au Conseil de sécurité, le Secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix, M. Hervé Ladsous, a souligné qu’avec la signature par toutes les parties soudanaises de l’Accord sur la feuille de route proposée par l’Union africaine, « une étape importante du processus de paix a été franchie ».
La Première Commission, en charge du désarmement et de la sécurité internationale, a poursuivi ce matin son débat général sur toutes les questions relatives au désarmement.
La Quatrième Commission chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation a entamé son débat de cinq jours sur les questions de décolonisation liées aux 17 territoires non autonomes. La question des Îles Falkland/Malvinas a été abordée cet après-midi dans les interventions de nombreuses délégations et groupes régionaux de l’Amérique latine et des Caraïbes.
La Sixième Commission a entamé, aujourd’hui, ses travaux au titre de la soixante et onzième session de l’Assemblée générale par l’examen des mesures visant à éliminer le terrorisme international. Les délégations se sont une nouvelle fois prononcées pour la mise au point d’une convention générale sur le terrorisme international mais se sont montrées en désaccord sur la définition du terrorisme.
Le Programme de développement durable à l’horizon 2030, le Programme d’action d’Addis-Abeba, l’Accord de Paris sur le climat, et le Cadre de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe sont des « instruments multilatéraux historiques » adoptés en 2015, ont souligné de nombreuses délégations, à l’occasion du premier jour de débat général de la Deuxième Commission (Commission économique et financière). La mise en œuvre des engagements pris dans le cadre de ces documents doit être au centre des travaux de la présente session, ont-elles insisté.
L’Assemblée générale a décidé, ce matin, que les Comores, la Guinée-Bissau, Sao Tomé-et-Principe et la Somalie seront autorisés à participer à ses votes jusqu’à la fin de cette session, bien que ces pays ne se soient pas acquittés de leur paiement au budget ordinaire de l’Organisation.