Cet après-midi, au troisième jour du débat général commun de la Quatrième Commission, la question des utilisations pacifiques de l’espace extra-atmosphérique a retenu, entre autres, l’attention des délégations. Qu’il s’agisse de nations se livrant à des activités spatiales ou pas, les délégations ont commenté la place croissante que prennent les applications découlant des technologies et services spatiaux dans le monde moderne.
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a poursuivi, ce matin, son débat général au titre de tous les points de son ordre du jour. Une fois encore, le désarmement nucléaire, les différends régionaux et leur cortège de violations supposées de normes internationales du désarmement et de la non-prolifération ont dominé les interventions de la trentaine de délégations entendues ce jour.
Fidèle à son programme de travail, la Sixième Commission, chargée des affaires juridiques, a terminé cet après-midi ses débats sur les crimes contre l’humanité et sur l’administration de la justice à l’ONU. Elle a abordé ensuite un tout nouveau point: la question du renforcement et de la promotion du régime conventionnel international.
Au deuxième jour du débat général conjoint de la Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation, le Groupe des Amis de la langue espagnole au sein des Nations Unies s’est livré à un vibrant plaidoyer en faveur de la parité linguistique entre les six langues officielles de l’ONU et du multilinguisme en appelant le Département de la communication globale à passer d’une « culture de la traduction », qui fonctionne sur la base de textes en anglais, à une authentique « culture multilingue », dans laquelle les particularités de chacune des langues seraient prises en compte à tous les stades de la communication.
Le Yémen se trouve dans une situation comprise entre « bonnes nouvelles », escalade de violence et situation humanitaire catastrophique. C’est le message contrasté que sont venus délivrer, ce matin, au Conseil de sécurité, l’Envoyé spécial des Nations Unies pour le Yémen, M. Martin Griffiths, et le Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires et Coordonnateur des secours d’urgence, M. Mark Lowcock.
Alors que les questions de désarmement et de non-prolifération nucléaires sont aujourd’hui encore restées au cœur des préoccupations exprimées au débat général de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale), les questions relatives à la sécurité en Europe ont été abondamment abordées, avec les interventions de l’Ukraine, de la Géorgie et de la Lituanie, dont le représentant a mis en doute la pertinence des mécanismes de règlement de conflit sur le continent.
Dans une déclaration présidentielle rendue publique aujourd’hui, le Conseil de sécurité se félicite de la mise en place des dispositions relatives à la transition au Mali, avec notamment la nomination d’un président, d’un vice-président, d’un premier ministre et d’un gouvernement de transition, ainsi que la publication d’une charte de la transition.
Par 13 voix pour et les abstentions de la Chine et de la Fédération de Russie, le Conseil de sécurité, a adopté ce matin, la résolution 2547 (2020) par laquelle il proroge pour un an, soit jusqu’au 15 octobre 2021, le mandat du Bureau intégré des Nations Unies en Haïti (BINUH), tel que défini par la résolution 2476 (2019).
Cet après-midi, la Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation –la Quatrième Commission–, a entamé son « débat général conjoint ». COVID-19 oblige, la Commission a opté pour cette nouvelle formule pour les 12 séances publiques dédiées à ce débat pendant lesquelles les délégations s’expriment une seule fois sur l’ensemble des points inscrits à son ordre du jour, ou choisissent de mettre l’accent sur l’un ou plusieurs d’entre eux.
Une majorité de délégations s’est prononcée, ce matin, devant la Sixième Commission chargée des questions juridiques, pour l’élaboration d’une convention sur la prévention et la répression des crimes contre l’humanité, sur la base du projet d’articles de la Commission du droit international (CDI).