On trouvera ci-après le discours du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à l’occasion du débat de haut niveau du Conseil de sécurité sur le thème « Leadership pour la paix: unis dans le respect de la Charte des Nations Unies et la recherche d’un avenir sûr », le 25 septembre
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
En quête d’un « leadership renouvelé pour la paix », le Conseil de sécurité s’est réuni aujourd’hui à l’initiative de la Slovénie, qui préside ses travaux en septembre, pour un débat ouvert à l’ensemble des États Membres de l’ONU dont le thème était « Leadership pour la paix: unis dans le respect de la Charte des Nations Unies et la recherche d’un avenir sûr ».
À l’initiative des États-Unis, de la France, du Japon, de Malte, de la République de Corée et du Royaume-Uni, le Conseil de sécurité s’est réuni cet après-midi au niveau ministériel pour examiner la situation en Ukraine. Le Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres et le Président ukrainien, M. Volodymyr Zelenskyy, ont été les premiers à prendre la parole pour demander le respect de la Charte des Nations Unies et le retour à la paix.
Le 11 septembre 2024, les membres du Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2653 (2022) concernant Haïti ont tenu des consultations pour examiner le rapport final du Groupe d’experts sur Haïti, présenté en application du paragraphe 20 de la résolution 2700 (2023).
On trouvera, ci-après, le texte de l’allocution du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, prononcée lors de la séance du Conseil de sécurité consacrée au maintien de la paix et de la sécurité de l’Ukraine, à New York, aujourd’hui:
Dans une rare unanimité, les membres du Conseil de sécurité réunis ce matin à l’occasion de l’examen mensuel de la situation politique et humanitaire en Syrie, ont exprimé leur vive préoccupation face aux risques de débordement et d’escalade des tensions régionales dans le pays, notamment du fait de la guerre à Gaza et des affrontements de part et d’autre de la frontière entre Israël et le Liban, lesquels pourraient entraîner la Syrie dans un conflit plus grave encore.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de septembre, M. Samuel Žbogar (Slovénie):
Le Conseil se réunit cet après-midi à la demande du Liban pour examiner la situation dans ce pays après une série d’explosions simultanées de bipeurs et de talkies-walkies les 17 et 18 septembre, qui ont ciblé des membres du Hezbollah et fait plusieurs morts et des milliers de blessés, y compris au sein de la population civile.
Au lendemain de la série d’explosions meurtrières ayant ciblé les militants du Hezbollah au Liban, le risque d’escalade régionale du conflit israélo-palestinien est plus que jamais élevé, a mis ce matin en garde le Coordonnateur spécial des Nations Unies pour le processus de paix au Moyen-Orient, M. Tor Wennesland. Devant le Conseil de sécurité, qui a été largement critiqué pour son inaction, M. Wennesland a vu dans le non-respect de la résolution 2334 (2016), qui demande à Israël de « cesser immédiatement et complètement toute activité de colonisation dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est », comme l’un des facteurs aggravants de la crise.
Réunis ce matin pour une séance d’information ouverte sur l’Afghanistan, plus particulièrement centrée sur la situation des femmes et des filles, les membres du Conseil de sécurité, ainsi que sept États invités, ont entendu la Représentante spéciale du Secrétaire général et Cheffe de la Mission d’assistance des Nations Unies en Afghanistan (MANUA), Mme Roza Otunbayeva, et la Directrice exécutive de l’Entité des Nations Unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes (ONU-Femmes), Mme Sima Sami Bahous, exprimer leur profonde préoccupation après la promulgation, le 21 août dernier, d’une nouvelle loi sur « la moralité » par les autorités de facto.