Au deuxième jour de la réunion préparatoire de la deuxième Conférence des Nations Unies sur les océans, les discussions se sont poursuivies sur les éléments essentiels du texte à adopter à Lisbonne en juin.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale
Ce matin a marqué le démarrage des travaux de la réunion préparatoire de la deuxième Conférence des Nations Unies sur les océans. Comme en 2017, l’édition 2020 a pour mission d’appuyer les efforts entrepris pour atteindre l’objectif de développement durable no 14: conserver et exploiter de manière durable les océans, les mers et les ressources marines aux fins du développement durable.
Difficultés à démarrer les travaux, recul sur des acquis, multiplication des votes, l’Assemblée générale et ses six grandes commissions ont eu beaucoup de mal, au cours de cette première partie de session, à montrer l’image d’une famille soudée autour du multilatéralisme.
« Un peuple qui renonce à sa langue, consciemment ou pas, est un peuple qui renonce à son identité et à ses droits culturels », a prévenu aujourd’hui le Président de l’Assemblée générale, M. Tijjani Muhammad-Bande, au cours de la cérémonie de clôture de l’Année internationale des langues autochtones
« Agissons dans la solidarité avec nos frères et sœurs » des pays en développement sans littoral, a lancé, ce soir, le Président de l’Assemblée générale, M. Tijjani Muhammad-Bande, en mettant un terme à la réunion de haut niveau, commencée hier, avec l’adoption de la Déclaration politique pour accélérer la mise en œuvre du Programme d’action de Vienne en faveur des pays en développement sans littoral 2014-2024.
La première Conférence pour la création au Moyen-Orient d’une zone exempte d’armes nucléaires a tenu, aujourd’hui, un débat général marqué par l’intervention de quatre États dotés d’armes nucléaires en leur qualité d’observateurs.
Quarante-cinq ans après l’inscription de la question de la création au Moyen-Orientune zone exempte d’armes nucléaires à l’ordre du jour de l’Assemblée générale, la première Conférence pour la création d’une telle zone s’est ouverte aujourd’hui au Siège des Nations Unies, à New York, en l’absence d’Israël, seul État de la région à être doté de l’arme atomique.
Près de 426 millions de dollars l’an dernier, plus de 516 millions aujourd’hui: le montant des promesses de dons faites ce matin par 16 États Membres lors de la Conférence pour les annonces de contributions aux activités de développement de l’ONU en 2020 est en nette hausse.
Cinq ans après les « Orientations de Samoa », les chefs d’État et de gouvernement, les ministres et les hauts-représentants ont reconnu aujourd’hui, dans une Déclaration politique* adoptée par consensus, que les petits États insulaires en développement (PEID) continuent de subir les effets conjugués de leur éloignement géographique, de la petite taille de leur économie, des coûts élevés des effets des changements climatiques et des catastrophes naturelles
« Le financement est un test pour mesurer notre sérieux », a prévenu d’emblée le Secrétaire général de l’ONU à l’ouverture du Dialogue de haut niveau de l’Assemblée générale sur le financement du développement, premier sommet sur cette question depuis l’adoption en 2015 du Programme d’action d’Addis-Abeba.