La poursuite des travaux de la Commission du développement social a été l’occasion, aujourd’hui, pour nombre d’États Membres, de vanter les mérites des systèmes de protection sociale pour amortir les effets de la pandémie et préparer un relèvement post-COVID-19 inclusif et résilient.
En cours au Siège de l'ONU
Questions sociales
Éliminer la pauvreté et la faim sous toutes leurs formes aux fins de la réalisation du Programme de développement durable à l’horizon 2030, en assurant un « relèvement inclusif et résilient après la COVID-19 pour garantir à chaque personne des moyens de subsistance, le bien-être et la dignité ». Avec ce thème prioritaire comme fil rouge de ses travaux, la Commission du développement social a ouvert, aujourd’hui, sa soixantième session, qui se déroulera en mode hybride jusqu’au 16 février prochain, date à laquelle seront adoptées les recommandations de cet organe subsidiaire du Conseil économique et social (ECOSOC).
On trouvera, ci-après, le texte de l’allocution du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, prononcée à l’occasion de la huitième Conférence ministérielle du Forum sur la coopération sino-africaine, à Dakar, aujourd’hui:
On trouvera ci-après le message du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à l’occasion de la Journée internationale des personnes handicapées, célébrée le 3 décembre:
On trouvera ci-après le message du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté, célébrée le 17 octobre:
Un nouveau rapport publié aujourd’hui par l’Organisation météorologique mondiale (OMM) indique que les catastrophes liées aux conditions météorologiques ont quintuplé, provoquant sept fois plus de dégâts que pendant les années 1970.
La Commission du développement social a achevé, ce matin, les travaux de sa cinquante-neuvième session en adoptant par consensus une série de projets de résolution, dont un texte qui exhorte notamment les États Membres à combler la fracture numérique et à s’efforcer de parvenir à une connectivité universelle pour que chaque personne ait un accès abordable à un Internet à haut débit de qualité d’ici à 2030.
Cyberharcèlement, exploitation des enfants, creusement du fossé numérique, intelligence artificielle – la conclusion, aujourd’hui, du débat général de la Commission du développement social a vu de nombreux États Membres et organisations non-gouvernementales (ONG) insister sur la « face sombre » du numérique.
La Commission du développement social a poursuivi, aujourd’hui, son débat général, l’occasion, une fois de plus, pour les délégations d’exprimer leurs vues sur le thème prioritaire de cette session, tout en mettant en avant leurs propres réalisations en matière de transformation numérique, dans des contextes plus ou moins favorables.
La Commission du développement social a poursuivi, aujourd’hui, sa réflexion sur le rôle des technologies numériques au service du développement social, du bien-être et de la justice sociale en réunissant, dans le cadre d’un forum multipartite, un groupe d’universitaires, de représentants de la société civile et de gouvernements qui ont parlé de leur domaine d’expertise respectif allant des enfants, aux femmes et aux familles en passant par le gaspillage alimentaire.