Le Groupe de travail III de la Commission préparatoire pour l’entrée en vigueur de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale (Accord BBNJ) a réfléchi aujourd’hui au financement de la Conférence des Parties dès sa première réunion.
En cours au Siège de l'ONU
Océans et droit de la mer
La Commission préparatoire pour l’entrée en vigueur de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale (Accord BBNJ) et la tenue de la première réunion de la Conférence des Parties à l’Accord a poursuivi aujourd’hui ses travaux de fond sur un éventail de questions.
La Commission préparatoire pour l’entrée en vigueur de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale (Accord BBNJ)et la tenue de la première réunion de la Conférence des Parties à l’Accord a examiné, ce matin, des « questions de gouvernance » ayant trait aux organes subsidiaires, puis, cet après-midi, les dispositions relatives au fonctionnement du secrétariat, y compris son siège.
Conformément à la résolution (A/RES/78/272) de l’Assemblée générale, la Commission préparatoire pour l’entrée en vigueur de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale et la tenue de la première réunion de la Conférence des Parties à l’Accord, dit « Accord BBNJ », a ouvert, ce matin au Siège de l’ONU à New York, les travaux de sa première session et ses discussions sur un vaste éventail de questions pratiques.
L’Assemblée générale a achevé, ce matin, son examen des points de son ordre du jour consacrés aux océans et au droit de la mer en en adoptant deux textes portant sur le droit de la mer et la viabilité des pêches, en plus de deux résolutions établissant des journées internationales des lacs et de la panthère des neiges, respectivement.
L’Assemblée générale a, ce matin, entendu une vingtaine de délégations s’exprimer sur le droit de la mer qui ont apporté leur soutien aux deux jalons juridiques que sont l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale (Accord « BBNJ ») et la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer, dans le contexte du trentième anniversaire de son adoption.
Cette année marque les 20 ans de collaboration entre les Nations Unies et la Nippon Foundation du Japon dans le cadre du projet de renforcement des capacités consacré au développement des ressources humaines et à la promotion de l’ordre juridique des océans du monde.
NEW YORK, 2 octobre 2024 (Division des affaires maritimes et du droit de la mer) ― La Division, qui fait partie du Bureau juridique des Nations Unies, a lancé aujourd’hui une publication que l’Assemblée générale a commanditée sur la gestion de l’information géospatiale marine.
On trouvera, ci-après, le texte de l’allocution du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, prononcée lors de la réunion de haut niveau de l’Assemblée générale consacrée aux menaces existentielles posées par l’élévation du niveau de la mer, à New York, aujourd’hui:
Les 900 millions de personnes menacées par l’élévation du niveau de la mer ont été au cœur de la première réunion plénière de haut niveau de l’Assemblée générale sur les menaces existentielles liées à ce phénomène, conséquence directe du réchauffement climatique. Les intervenants, dont le Secrétaire général, ont réfléchi aux moyens juridiques et financiers de sauver ces personnes « d’une marée de malheurs » et d’empêcher que des pays ne soient « rayés de la carte ».