La Présidente de la Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale, plus connue sous l’acronyme anglais « BBNJ », a promis, ce matin, qu’une version consolidée du nouvel avant-projet d’accord actualisé, sur la base duquel travaillent les délégations, sera présentée ce samedi.
En cours au Siège de l'ONU
Océans et droit de la mer
La Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale, plus connue sous l’acronyme anglais « BBNJ », a entendu ce matin des rapports résumant les travaux qui se sont tenus ces deux derniers jours lors de consultations informelles.
« Des progrès ont été enregistrés dans les consultations informelles pour chacune des thématiques examinées », s’est enthousiasmée, ce matin, Mme Rena Lee, de Singapour, Présidente de la Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale.
Ce matin a été donné, au Siège de l’ONU, à New York, le coup d’envoi de la reprise de la cinquième session de la Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale.
La perte du statut d’État et la question connexe de la préservation des zones maritimes ont été au cœur du débat public que le Conseil de sécurité a tenu aujourd’hui sur l’élévation du niveau de la mer et ses conséquences sur la paix et la sécurité internationales.
On trouvera, ci-après, le texte bilingue de l’allocution du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, prononcée lors du débat du Conseil de sécurité consacré à l’élévation du niveau de la mer et ses conséquences sur la paix et la sécurité internationales, à New York, aujourd’hui:
La Commission des limites du plateau continental tiendra sa cinq-septième session du 23 janvier au 10 mars, en présentiel et exceptionnellement dans le cadre d’une session plénière de trois semaines, soit du 30 janvier au 10 février, puis du 6 au 10 mars.
L’Assemblée a achevé, cet après-midi, son débat sur le droit de la mer lors d’une courte séance au programme aussi compact que varié au cours de laquelle elle a également appelé à promouvoir la communication pour favoriser l’accessibilité des personnes en situation de handicap.
Après avoir célébré hier le quarantième anniversaire de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer, l’Assemblée générale a tenu aujourd’hui son débat sur les océans et le droit de la mer et adopté sans vote sa résolution annuelle consacrée à la viabilité des pêches. La décision concernant le projet de résolution omnibus intitulé « Les océans et le droit de la mer » a été reportée à une date ultérieure afin de permettre à la Cinquième Commission d’en examiner les incidences budgétaires.
« Si nous ne parvenons pas à protéger l’océan et ses mers, il n’y aura de profit pour personne ». C’est par cette mise en garde que le Secrétaire général de l’ONU a marqué la célébration du quarantième anniversaire de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer. Décrit comme la « constitution des océans », ce texte, désormais ratifié par 168 États, est entré en vigueur le 16 novembre 1994.