Un Conseil de sécurité divisé se penche sur la situation au Nicaragua, « pays sans espérance »
C’est dans une salle polarisée que le Conseil de sécurité a examiné, ce matin, la situation au Nicaragua, un « pays sans espérance ».
C’est dans une salle polarisée que le Conseil de sécurité a examiné, ce matin, la situation au Nicaragua, un « pays sans espérance ».
Lors de consultations tenues le 27 août 2018, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2206 (2015) concernant le Soudan du Sud a examiné le rapport établi par sa Présidente au sujet de la visite qu’elle avait effectuée en juin 2018 au Soudan du Sud, en Éthiopie, au Kenya et en Ouganda.
« Un océan, une planète, un traité », c’est ainsi que la représentante de l’Alliance de la haute mer a résumé l’enjeu de la Conférence qui a ouvert ses portes hier pour entamer les travaux sur un futur traité pour la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité en haute mer.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par la Présidente du Conseil de sécurité pour le mois de septembre, Mme Nikki R. Haley (États-Unis):
La déclaration suivante a été communiquée aujourd’hui par le Porte-parole de M. António Guterres, Secrétaire général de l’ONU:
Septembre sera le mois des « premières fois » au Conseil de sécurité, a annoncé celle qui en présidera les travaux mensuels, la Représentante permanente des États-Unis auprès des Nations Unies.
Le Secrétaire général a pris note avec préoccupation de la peine prononcée au Myanmar contre les journalistes Wa Lone et Kyaw Soe Oo, condamnés à sept ans d’emprisonnement. Il exhorte les autorités à revoir leur décision.
Le Conseil de sécurité s’est réuni en séance publique, cet après-midi, à l’initiative des États-Unis, qui en préside les travaux pour le mois de septembre, pour discuter de son programme de travail mensuel, précisément de l’inscription à l’ordre du jour de la question de « la situation au Nicaragua », plusieurs de ses membres y étant opposés.
C’est devant une salle comble que Mme Rena Lee, la Présidente de la Conférence intergouvernementale sur un instrument international juridiquement contraignant se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale, a souhaité, ce matin, la bienvenue aux nombreuses délégations et organisations qui ont répondu présent, pour la première session de fond de la Conférence qui en prévoit quatre d’ici à 2020.
Un responsable de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) a souligné, ce matin, devant le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien, les « conséquences très graves » de la récente décision des États-Unis de suspendre leur participation financière à l’Agence.