Le Conseil de sécurité, par la résolution 2276 (2016) adoptée à l’unanimité de ses 15 membres, a prorogé jusqu’au 24 avril 2017 le mandat qu’il a confié au Groupe d’experts au paragraphe 26 de sa résolution 1874 (2009) et modifié au paragraphe 29 de sa résolution 2094 (2013). Il a également décidé que ce mandat s’appliquera aux mesures imposées par la résolution 2270 (2016).
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a achevé aujourd’hui les travaux qu’elle avait entamés le 29 février, en faisant plusieurs recommandations à l’Assemblée générale dont l’ouverture de crédits supplémentaires, dans le budget 2016-2017, pour le Mécanisme de surveillance de l’acheminement de l’aide humanitaire en Syrie, le Bureau du Conseiller spécial du Secrétaire général pour le Burundi et l’application de la résolution 2231 (2015) sur l’Accord relatif au dossier nucléaire iranien.
La République démocratique du Congo, qui devrait tenir des élections présidentielle et législatives en novembre prochain, se trouve à un moment charnière, a estimé, ce matin, devant le Conseil de sécurité, le Représentant spécial du Secrétaire général pour ce pays, M. Maman Sidikou.
La Commission de la condition de la femme a achevé son débat général ce matin en écoutant des organisations internationales et d’autres de la société civile faire le plaidoyer du plein respect de tous les droits de la femme, sans exclusive.
La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a recommandé aujourd’hui à l’Assemblée générale de prier le Secrétaire général de recouvrer les coûts résultant de l’erreur topographique commise par le cabinet d’architectes-conseils dans le chantier du Mécanisme résiduel à Arusha. À trois jours de la fin des travaux, la Commission a enfin pu examiner les rapports sur une série de questions importantes dont la contribution proposée par le Secrétariat de l’ONU au mécanisme de partage des coûts du système des coordonnateurs résidents.
Seize ans après le déploiement initial de la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO), force est de reconnaître que ce pays et la région des Grands Lacs continuent de se heurter à de nombreux défis, comme en témoigne la situation au Burundi, a déclaré aujourd’hui, lors d’un débat au Conseil de sécurité, le Secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki-moon.
Avant que le représentant de l’Union européenne ne s’agace, une nouvelle fois, de la parution tardive des rapports, la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a appris aujourd’hui que le Secrétaire général lui demande une enveloppe de 9 millions de dollars pour le Bureau du Conseiller spécial au Burundi, une somme que son Comité consultatif lui recommande d’imputer de 500 000 dollars*. Les propositions du Secrétaire général sur le mandat du Bureau au Burundi ont été accueillies avec circonspection par le Groupe des États d’Afrique qui s’est attardé sur les initiatives que les acteurs régionaux et sous-régionaux ont déjà lancées.
Plus d’une soixantaine de délégations, dont la moitié au niveau ministériel, ont pris part aujourd’hui au débat général de la Commission de la condition de la femme qui est centré sur l’autonomisation des femmes en lien avec le développement durable.
Profondément alarmé par la montée, dans le monde entier, de l’intolérance, des opinions racistes et de la violence motivée par la haine, le Secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki-moon, a, ce matin, demandé aux États Membres de renouveler leur engagement en faveur de la Déclaration et du Programme d’action de Durban, lors d’une réunion de l’Assemblée générale commémorant la Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale, observée chaque année le 21 mars, date du massacre de 1960 dans le township sud-africain de Sharpeville.
Le Secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki-moon, a déclaré, cet après-midi devant le Conseil de sécurité, que les dirigeants politiques burundais doivent faire montre de courage et de la confiance nécessaires afin de lancer un processus politique crédible et construire un avenir où la population du pays pourra de nouveau vivre dans la paix et jouir de ses droits fondamentaux.