La Quatrième Commission chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation a poursuivi, aujourd’hui, son débat général sur la situation des territoires non autonomes de l’île de Guam, de la Nouvelle-Calédonie et du Sahara occidental.
En cours au Siège de l'ONU
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Les membres de la Sixième Commission, chargée des questions juridiques, ont entamé aujourd’hui leurs travaux sur l’état de droit aux niveaux national et international en insistant sur l’importance du respect de l’état de droit afin de parvenir à la paix et à la stabilité internationales.
La Troisième Commission en charge des questions sociales, humanitaires et culturelles a débattu, aujourd’hui, du contrôle des drogues, de la prévention du crime et de la justice pénale. Derrière un volontarisme affiché, illustré par les bilans présentés, perçaient néanmoins parfois une forme de découragement face aux résultats, et beaucoup de craintes concernant la réalisation du Programme de développement durable à l’horizon 2030.
La Troisième Commission a poursuivi et achevé aujourd’hui la partie de son débat général consacrée au développement social. Tout comme hier à l’ouverture de ses travaux, les interventions sont restées largement consensuelles, consacrées principalement, d’une part, à la jeunesse et ses atouts, d’autre part aux progrès réalisés et aux défis rencontrés dans la réalisation des objectifs du développement durable et du développement social.
La Sixième Commission, chargée des affaires juridiques, a poursuivi aujourd’hui son débat sur l’examen des mesures visant à éliminer le terrorisme international.
Sous fond des préoccupations suscitées par le programme nucléaire de la République populaire démocratique de Corée (RPDC), le deuxième jour du débat général de la Première Commission a été l’occasion, ce matin, pour de nombreuses délégations d’expliquer les raisons de leur adhésion, ou non, au nouveau Traité sur l’interdiction des armes nucléaires qui a été adopté le 7 juillet de cette année.
Le constat largement partagé par les délégations de la Deuxième Commission (questions économiques et sociales), lors de sa deuxième journée de débat général, a été peu encourageant quant au niveau de mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030. Cela n’a pourtant pas empêché les délégations de soumettre des idées concrètes pour aller de l’avant à la fois dans la restructuration du système onusien chargé de soutenir le développement et dans le pari universel du développement durable.
La situation de Guam et de la Polynésie française étaient au centre des préoccupations des représentants de territoires non autonomes et des pétitionnaires qui sont intervenus, aujourd’hui, devant la Quatrième Commission, chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation.
L’Assemblée générale a rouvert ce matin le rapport sur l’activité de l’Organisation que le Secrétaire général avait présenté aux chefs d’État et de gouvernement le 19 septembre dernier. « Nous sommes ici pour servir », avait dit M. António Guterres, en insistant sur le fait que le multilatéralisme est plus important que jamais. Dans son rapport, il met en exergue 12 initiatives qui s’inscrivent dans son programme de réforme du système de développement, de l’architecture de paix et de sécurité et de la gestion de l’Organisation.
« Le rythme reste trop lent dans bien des domaines si l’on veut atteindre les objectifs d’ici à 2030 », a déclaré, inquiet, le Secrétaire général adjoint aux affaires économiques et sociales, M. Liu Zhenmin, à l’ouverture du débat général de la Commission économique et financière (Deuxième Commission), anticipant les réactions de nombreux pays qui ont lancé des appels à mener les actions nécessaires pour y arriver.