La Première Commission a entamé ce matin son débat thématique sur un premier groupe de questions incluant les armes nucléaires, les autres armes de destruction massive, les aspects du désarmement dans l’espace extra-atmosphérique et les armes classiques. Elle avait auparavant achevé son débat général, lors duquel se sont exprimés 137 délégués, dont 33 femmes.
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Tirer parti des technologies de l’information et des communications (TIC) pour le développement, tel est l’objectif affiché ce matin par plusieurs délégations de la Deuxième Commission (questions économiques et financières), lors de la clôture des débats sur le développement durable, les TIC, la mondialisation et l’interdépendance.
Aujourd’hui à l’Assemblée générale, une vingtaine d’États a réagi au rapport* du Secrétaire général intitulé « Notre Programme commun », lequel fait 12 propositions, sous la forme d’un programme d’action, pour hâter la mise en œuvre des accords existants, notamment les objectifs de développement durable.
Au-delà des effets conjoncturels de la pandémie de COVID-19, les populations autochtones qui ont migré vers des zones urbaines font face à des défis structurels, au premier rang desquels figurent la pauvreté, le racisme, la marginalisation et le manque de soutien.
Il faudrait l’équivalent de 1,7 de la planète pour absorber les modes de consommation actuels: ce chiffre choc a été donné par Ibrahim Thiaw, Secrétaire exécutif de la Convention des Nations Unies, pour combattre la désertification, lors d’une séance de débat virtuel de la Deuxième Commission (questions économiques et financières) consacrée au développement durable.
Les délégations de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) ont poursuivi, ce matin, leur débat général en réaffirmant la nécessité d’abandonner les armes de destruction massive afin de pouvoir construire une société plus sûre et prospère. À cet égard, l’Afrique du Sud, au nom de la Coalition pour un nouvel ordre du jour, a déploré que « l’objectif de la première résolution de l’Assemblée générale des Nations Unies, adoptée en 1946 et visant à assurer l’élimination des armes atomiques, reste inachevée 75 ans plus tard ».
Au troisième et dernier jour des auditions de pétitionnaires à la Quatrième Commission, chargée des questions de politiques spéciales et de la décolonisation, c’est encore de l’avenir du Sahara occidental dont il était question. Malgré les restrictions sanitaires imposées par la pandémie de COVID-19, ils ont été 66 à se déplacer à New York cette année pour s’exprimer sur le sujet, qui oppose toujours les partisans du Front POLISARIO à ceux du plan d’autonomie élargie pour les « provinces du Sud » proposé par le Maroc; les défenseurs du droit à l’autodétermination du peuple sahraoui à ceux du développement économique et de la légitimité des urnes des représentants élus du « Sahara marocain ».
« La vaccination n’est pas une course entre les pays mais une course contre le virus », a lancé aujourd’hui un groupe de 75 pays lors de la clôture du débat général de la Deuxième Commission sur le thème « Crise, résilience et reprise -Accélérer les progrès vers le Programme 2030 ».
Réunie ce matin en séance virtuelle sous la présidence de M. Sasa Milanovic, Vice-Président, la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a de nouveau entendu la Haute-Représentante pour les affaires de désarmement, Mme Izumi Nakamitsu, demander aux délégations de créer l’atmosphère propice à la création d’un « multilatéralisme inclusif », ouvert au secteur privé et à la société civile.
Avec près de 60 orateurs, la Sixième Commission, chargée des questions juridiques, a entamé aujourd’hui ses échanges sur l’état de droit aux niveaux national et international après avoir terminé l’examen des mesures visant à éliminer le terrorisme international. La pandémie de COVID-19, ont déploré plusieurs pays, a fait apparaître de profondes inégalités dans l’accès à la justice, la protection des droits humains ou la prestation des services de base, et érodé la confiance des populations.