Dix jours après les élections communales et législatives tenues le 29 juin, et à quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle du 15 juillet, le Conseil de sécurité a examiné la situation au Burundi.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
Faisant usage de son statut de membre permanent du Conseil de sécurité et du droit de veto qui l’accompagne, la Fédération de Russie s’est opposée, aujourd’hui, à l’adoption d’un projet de résolution relatif au conflit qui a embrasé, il y a une vingtaine d’années, l’ex-Yougoslavie, notamment la Bosnie-Herzégovine et la ville de Srebrenica
M. Mohamed Ibn Chambas, qui faisait cet après-midi une présentation de l’état de la situation dans la région de l’Afrique de l’Ouest, s’est dit préoccupé par la persistance des attaques perpétrées par le secte Boko Haram.
Le Représentant permanent de la Nouvelle-Zélande, M. Gerard Jacobus van Bohemen, qui prend la présidence du Conseil de sécurité au mois de juillet, a prévenu que ce serait un mois difficile du fait des questions graves à l’ordre du jour.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite aujourd’hui par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de juillet, M. Gerard van Bohemen (Nouvelle-Zélande):
Le 1er juillet 2015, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2206 (2015) concernant le Soudan du Sud a approuvé a approuvé l’inscription des entrées ci-après sur la liste des personnes ou entités soumises à l’interdiction de voyager et au gel des avoirs en vertu des dispositions des paragraphes 9 et 12, respectivement, de la résolution 2206 (2015) du Conseil de sécurité adoptée au titre du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite aujourd’hui par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de juillet, M. Gerard van Bohemen (Nouvelle-Zélande):
Les membres du Conseil de sécurité ont dressé aujourd’hui le bilan de leurs travaux mensuels.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite aujourd’hui par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de juin, M. Ramlan Bin Ibrahim (Malaisie):
Le départ précipité du Président Omar Al-Bachir d’Afrique du Sud montre bien que le mandat d’arrêt contre lui est aussi valable aujourd’hui qu’il ne l’était, il y a six ans, a tranché aujourd’hui devant le Conseil de sécurité, la Procureure de la Cour pénale internationale (CPI).