À l’initiative du Premier Ministre de la Nouvelle-Zélande, M. John Key, qui en présidait les travaux, le Conseil de sécurité a convoqué, ce matin, une réunion de haut niveau sur la crise en Syrie, au cours de laquelle ses membres, représentés par des chefs d’État, de gouvernement ou des ministres des affaires étrangères, ont constaté avec regret les violations de l’accord de cessation des hostilités conclu le 9 septembre par les États-Unis et la Fédération de Russie, coprésidents du Groupe international de soutien pour la Syrie (GISS).
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de septembre, M. Gerard van Bohemen (Nouvelle-Zélande):
Le Président de la Colombie, Juan Manuel Santos, a présenté, ce matin au Conseil de sécurité, que présidait le Premier Ministre de la Nouvelle-Zélande, M. John Key, le contenu de l’accord de paix, conclu en août dernier, entre le Gouvernement colombien et les Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC), mettant ainsi un terme à une guerre sanglante de plusieurs décennies.
Le 16 septembre 2016, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1518 (2003) a approuvé le retrait de les entités ci-après de la Liste des personnes et entités visées par le gel des avoirs prévu au paragraphe 23 de la résolution 1483 (2003) du Conseil de sécurité, adoptée en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies.
Le 9 septembre 2016, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2127 (2013) concernant la République centrafricaine a tenu une réunion avec les représentants de l’Afrique du Sud, de l’Éthiopie, de l’Ouganda, de la République centrafricaine, du Soudan et du Tchad pour examiner le bilan d’étape du Groupe d’experts sur la République centrafricaine daté du 11 août 2016 (S/2016/694).
« La solution des deux États court le risque d’être remplacée par la réalité à un État de violence perpétuelle et d’occupation », a averti ce matin le Secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki-moon, lors d’une réunion du Conseil de sécurité consacrée au Moyen-Orient, et, en particulier, à la question palestinienne.
Le 14 septembre 2016, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999), 1989 (2011) concernant et 2253 (2015)concernant l’EIIL (Daesh), Al-Qaida et les personnes, groupes, entreprises et entités qui leur sont associés a promulgué les modifications spécifiées par les biffures et les soulignements dans les entrées ci-dessous dans la Liste des individus et entités faisant l’objet de sanctions – gel des avoirs, interdiction de voyager et embargo sur les armes– conformément au paragraphe 2 de la résolution 2253 (2015) du Conseil de sécurité adoptée en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies.
Préoccupé par l’état de la sécurité en Afghanistan, le Conseil de sécurité a, ce matin, demandé à la communauté internationale de poursuivre ses efforts et ses actions afin de renforcer la prise en main et la direction du pays par les Afghans et à toutes les parties politiques d’œuvrer de concert afin d’assurer un avenir pacifique et prospère pour le peuple afghan.
Le 8 septembre 2016, le Président du Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1533 (2004) concernant la République démocratique du Congo a rendu compte aux membres du Comité de la visite qu’il a effectuée du 1er au 6 août, en République démocratique du Congo, au Rwanda et en Ouganda.
Le Représentant spécial du Secrétaire général pour la Libye, M. Martin Kobler, a affirmé, cet après-midi devant le Conseil de sécurité, que, depuis son dernier exposé, le « paradoxe » de ce pays était « devenu encore plus évident ».