On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois d’octobre, M. Martin Kimani (Kenya):
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
L’Envoyé spécial pour la Syrie, qui n’a pas caché sa « déception » face à l’issue de la sixième session de la Commission constitutionnelle à Genève, a exhorté, aujourd’hui, les membres du Conseil de sécurité à « une diplomatie constructive » pour sauver des vies, atténuer les souffrances, promouvoir la stabilité et mettre en œuvre intégralement la résolution 2254 (2015). Le Conseil, qui examinait les situations politique et humanitaire en Syrie, a aussi entendu les vives critiques que la Coordonnatrice générale du Congrès national syrien a adressées à une Commission constitutionnelle qui néglige « presque totalement » les mesures de confiance mentionnées dans la résolution précitée.
Le Conseil de sécurité a adopté, ce matin, une déclaration présidentielle* à l’occasion de l’examen du rapport du Secrétaire général sur les progrès accomplis dans l’exécution du mandat de la Force intérimaire de sécurité des Nations Unies pour Abyei (FISNUA), présenté par le Secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix, M. Jean Pierre Lacroix. Le Conseil demande notamment de créer une équipe d’assistance électorale intégrée et de faire précéder les élections d’un processus de rédaction de la constitution qui soit « inclusif et transparent ».
Le 25 octobre 2021, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1970 (2011) concernant la Libye a approuvé l’ajout de l’entrée ci-après à sa liste relative aux sanctions concernant les personnes et entités visées par les mesures imposées par les résolutions 1970 (2011) et 1973 (2011) du Conseil de sécurité et adoptées en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois d’octobre, M. Martin Kimani (Kenya):
Sous la présidence du Kenya, le Conseil de sécurité a organisé aujourd’hui un débat public ministériel sur le rôle que les femmes jouent dans le maintien et la consolidation de la paix, à l’occasion du vingt-et-unième anniversaire de sa résolution 1325 (2020), dont les « progrès limités » en matière de mise en œuvre ont été pointés par la soixantaine d’intervenants à cette séance. Pour changer la donne, il faut « faire passer les femmes de la périphérie au centre », a plaidé la Secrétaire d’État aux affaires étrangères du Kenya, Mme Raychelle Omamo.
On trouvera ci-après le discours prononcé, aujourd’hui, par le Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, au cours du débat public tenu par le Conseil de sécurité sur les femmes et la paix et la sécurité:
Le Conseil de sécurité a entendu, cet après-midi, la présentation par Mme Geraldine Byrne Nason (Irlande), Présidente du Comité du Conseil de sécurité faisant suite à la résolution 751 (1992) sur la Somalie, qui a présenté le dernier rapport en date du Comité, qui couvre la période du 15 juin au 20 octobre 2021 derniers.
Le Conseil de sécurité a adopté ce matin une déclaration présidentielle de six pages à l’occasion d’un débat ministériel de haut niveau organisé par le Kenya sur le thème « Appuyer l’attachement renouvelé des pays de la région des Grands Lacs à la recherche de solutions durables aux causes profondes et aux facteurs de conflit ».
Intervenant au Conseil de sécurité ce matin, par visioconférence depuis Jérusalem, le Coordonnateur spécial pour le processus de paix au Moyen-Orient, M. Tor Wennesland, n’a pas rapporté de progrès sur la voie de la réalisation de la solution des deux États, même s’il s’est dit encouragé par les discussions récentes entre l’Autorité palestinienne et Israël.