Conseil de sécurité: Couverture des réunions


CS/11972

« Le Secrétaire général considère que malgré les progrès réalisés en Somalie, une mission de maintien de la paix des Nations Unies serait, à ce stade, une entreprise à très haut risque », a déclaré ce matin, devant le Conseil de sécurité, le Sous-Secrétaire général aux opérations de maintien de la paix, M. Edmond Mulet. 

CS/11971

Le nouvel accord signé par les parties libyennes à Skhirat, au Maroc, le 11 juillet dernier n’a pas empêché le Représentant spécial pour la Libye, M. Bernardino León, de faire part aux membres du Conseil de sécurité de son inquiétude concernant la détérioration de la situation en Libye résultant de la fragmentation politique et de la violence liée, en particulier à Daech.

CS/11968

Le Conseil de sécurité a prorogé, ce matin, le mandat de la Force intérimaire de sécurité des Nations Unies pour Abyei (FISNUA) jusqu’au 15 décembre 2015, en demandant instamment aux Gouvernements du Soudan et du Soudan du Sud d’adopter des mesures visant à renforcer la confiance entre les différentes communautés concernées par cette zone frontalière qu’ils se disputent.

CS/11969

Les résultats d’un partenariat entre la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO) et les forces gouvernementales doivent renforcer notre engagement et notre volonté de combattre la menace que posent les groupes armés, a déclaré, ce matin devant le Conseil de sécurité, le Représentant spécial du Secrétaire général pour ce pays, M. Martin Kobler.

CS/11961

Faisant usage de son statut de membre permanent du Conseil de sécurité et du droit de veto qui l’accompagne, la Fédération de Russie s’est opposée, aujourd’hui, à l’adoption d’un projet de résolution relatif au conflit qui a embrasé, il y a une vingtaine d’années, l’ex-Yougoslavie, notamment la Bosnie-Herzégovine et la ville de Srebrenica

CS/11954

Le départ précipité du Président Omar Al-Bachir d’Afrique du Sud montre bien que le mandat d’arrêt contre lui est aussi valable aujourd’hui qu’il ne l’était, il y a six ans, a tranché aujourd’hui devant le Conseil de sécurité, la Procureure de la Cour pénale internationale (CPI).