Le 23 février 2016, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999), 1989 (2011) concernant et 2253 (2015)concernant l’EIIL (Da’esh), Al-Qaida et les personnes, groupes, entreprises et entités qui leur sont associés a promulgué les modifications spécifiées par les biffures et les soulignements dans les entrées ci-dessous dans la Liste des individus et entités faisant l’objet de sanctions – gel des avoirs, interdiction de voyager et embargo sur les armes– conformément au paragraphe 2 de la résolution 2253 (2015) du Conseil de sécurité adoptée en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité: Aucun nom
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de février, M. Rafael Dario Ramírez Carreño (Venezuela):
Le Conseil de sécurité a tenu, aujourd’hui, un débat public sur l’« examen du dispositif de consolidation de la paix », au cours duquel une soixantaine de délégations ont souligné l’importance de « repenser » cette notion qui, ont-ils plaidé, ne doit plus seulement être évoquée après les conflits, mais également avant et pendant. S’exprimant en sa qualité de Président du Groupe consultatif d’experts chargé de l’examen du dispositif de consolidation de la paix, lequel a remis sa copie au Secrétaire général le 17 juin dernier, M. Gert Rosenthal (Guatemala) a demandé pourquoi l’expression « consolidation de la paix » était-elle toujours suivie de l’épithète « postconflit », en dépit du fait que le Conseil de sécurité a reconnu, dès 2001, que la consolidation de la paix pouvait prendre forme à tous les stades d’un conflit – avant, pendant et après.
Au lendemain de violences meurtrières perpétrées sur un site de protection des civils de l’ONU à Malakal, au Soudan du Sud, de hauts fonctionnaires de l’ONU ont, ce matin devant le Conseil de sécurité, argué d’une seule voix que la gravité de la situation sécuritaire et humanitaire dans le pays rend plus que jamais urgente la mise en œuvre, trop longtemps différée, de l’Accord de paix d’août 2015.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de février, M. Rafael Dario Ramírez Carreño (Venezuela):
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de février, M. Rafael Dario Ramírez Carreño (Venezuela):
Le recul du groupe terroriste Al-Chabab en Somalie ne doit pas occulter la gravité de la menace que ses miliciens continuent de faire peser sur ce pays de la corne de l’Afrique, ont estimé, ce matin, les membres du Conseil de sécurité.
Le Coordonnateur spécial pour le processus de paix au Moyen-Orient a déclaré cet après-midi au Conseil de sécurité que non seulement la violence qui a commencé en octobre dernier entre Israéliens et Palestiniens ne semble pas baisser en intensité mais qu’elle pointe en outre vers une nouvelle phase « troublante ».
Le 12 février 2016, à sa troisième séance officielle, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2206 (2015) concernant le Soudan du Sud a procédé, conformément aux dispositions énoncées à l’alinéa g) du paragraphe 16 de la résolution et à l’alinéa b) du paragraphe 3 des Directives régissant la conduite de ses travaux, à un échange de vues sur l’application des sanctions avec les représentants de l’Éthiopie, du Kenya, de l’Ouganda, de la République centrafricaine, de la République démocratique du Congo, du Soudan et du Soudan du Sud auprès de l’Organisation des Nations Unies.
La situation sécuritaire au Yémen s’est encore détériorée depuis le premier tour des pourparlers de paix, il y a deux mois, a déclaré, cet après-midi devant le Conseil de sécurité, l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour ce pays.