Les débats ont essentiellement portés sur la nécessaire revitalisation des travaux de la Conférence du désarmement (CD), ainsi que les liens entre désarmement et développement humain.
La Cinquième Commission (questions administratives et budgétaires) a entendu, ce matin, par la voix de Mme Angela Kane, Secrétaire générale adjointe à la gestion, une présentation de la situation financière de l’Organisation des Nations Unies au 5 octobre 2011, qui fera l’objet de la publication d’un rapport du Secrétaire général. Le Président de la Cinquième Commission a indiqué que le débat général sur cette question aura lieu le jeudi 20 octobre, dans la matinée.
Dix ans après son lancement, le Nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD), projet sous tutelle de l’Union africaine, a permis des avancées significatives en Afrique, même si le manque de financement international ne lui a pas permis de tenir toutes ses promesses, ont souligné aujourd’hui les délégations devant l’Assemblée générale.
La Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation (Quatrième Commission) a adopté, ce matin, plusieurs projets de résolution et un projet de décision.
À peine une année après son inauguration, l’Entité pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes (ONU-Femmes) demeure « sérieusement sous-financée », a déploré, aujourd’hui, devant la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, sa Directrice exécutive adjointe, Mme Lakshmi Puri, évoquant une « période économique et financière incertaine et difficile ».
L’adoption de la Loi type révisée sur la passation des marchés publics et celle de la Loi type sur l’insolvabilité internationale ont été saluées par les délégations de la Sixième Commission qui examinaient aujourd’hui le rapport de la Commission des Nations Unies pour le droit commercial international (CNUDCI), portant sur les travaux de sa quarante-quatrième session.
La Commission économique et financière (Deuxième Commission) a tenu son premier débat thématique, aujourd’hui, avec une convergence de vues des délégations sur le besoin d’alléger la dette des pays en développement et sur l’urgence d’une réforme de la gouvernance des institutions de Breton Woods, afin de les rendre plus légitimes, représentatives, efficaces, et démocratiques.
Impasse, frustration, statu quo intenable, ces mots ont été utilisés par les délégations intervenues pour évoquer la situation qui prévaut au sein de la Conférence du désarmement, le principal organe multilatéral de négociation d’accords sur ce thème, où les États représentés n’ont pas pu dépasser leurs dissensions, empêchant l’adoption d’un programme de travail et des avancées sur des questions centrales liées à la non-prolifération nucléaire.
Les délégations de la Sixième Commission (chargée des questions juridiques) ont exprimé, ce matin, leurs points de vue sur la question de la responsabilité pénale des fonctionnaires et experts en mission des Nations Unies, qui faisait l’objet d’un rapport* du Secrétaire général.
La Première Commission, chargée des questions du désarmement et de la sécurité internationale a poursuivi vendredi son débat général en entendant une vingtaine d’États Membres.