Le Forum des Nations Unies sur les forêts (FNUF) a entamé, aujourd’hui, les travaux de sa treizième session. Première session politique après l’adoption, par l’Assemblée générale en 2017, du Plan stratégique sur les forêts (2017-2030), cette semaine de travail sera l’occasion pour les délégations d’examiner en détail la mise en œuvre de cette stratégie qui offre un cadre global pour gérer de manière durable tous les types de forêts et d’arbres hors forêt.
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
Si le Secrétariat de l’ONU n’a pas encore présenté officiellement l’enveloppe des opérations de maintien pour 2018-2019, plusieurs États ont néanmoins parlé d’une proposition de 7,26 milliards de dollars, à l’ouverture de la session de mai de la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires.
Le cinquième segment de l’intégration du Conseil économique et social (ECOSOC) a pris fin ce soir, après trois journées de débats « sur toutes les dimensions de la résilience », a indiqué la Présidente du Conseil, Mme Marie Chatardová (République tchèque), non sans se féliciter du succès d’une session qui a permis de « maintenir l’élan dans la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030 ».
Le segment du Conseil économique et social (ECOSOC) sur l’intégration a mené, au cours de cette deuxième journée de travaux, trois tables rondes pour cerner les problèmes en matière d’infrastructures et de résilience, en particulier en milieu urbain.
« On ne peut pas simplement s’attendre à ce que “Nous les peuples”* comprennent et s’engagent dans la seule langue de Shakespeare », a lancé, ce matin, l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) au Comité de l’information, qui a bouclé son débat général avec un plaidoyer en faveur du multilinguisme, un thème sur lequel s’est attardée, aujourd’hui encore, la Secrétaire générale adjointe à la communication, après les propos tenus dès hier, à l’ouverture de la session, par le Groupe des Amis de la langue espagnole et la Communauté des pays de langue portugaise.
« La technologie et l’innovation doivent aider à réaliser le Programme de développement durable à l’horizon 2030 et le Programme d’action d’Addis-Abeba sur le financement du développement ».
Comment l’Organisation doit et devrait-elle communiquer sur les valeurs qu’elle promeut au nom de tous les États Membres? C’est la question qui est à l’origine de la réforme du Département de l’information dont les grandes lignes ont été présentées, ce matin, par la Secrétaire générale adjointe à la communication, à l’ouverture des travaux de la session annuelle du Comité de l’information.
Après 15 jours de travail sur le thème « Les droits collectifs des peuples autochtones sur leurs terres, leurs territoires et leurs ressources », l’Instance permanente a fermé ses portes aujourd’hui, non sans avoir fait plusieurs recommandations au Conseil économique et social (ECOSOC) dans cinq textes de fond oralement amendés* et prévenu que sans le respect de ces droits collectifs, le Programme de développement durable à l’horizon 2030 restera lettre morte.
Le Conseil de sécurité a, cet après-midi, prorogé jusqu’au 31 octobre 2018, soit six mois au lieu d’un an habituellement, le mandat de la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO), déployée en septembre 1991 afin d’y surveiller le cessez-le-feu et d’organiser un référendum qui permettrait aux habitants de décider du futur statut de ce territoire.
Au lendemain de sa réunion de haut niveau sur la consolidation et la pérennisation de la paix, le Conseil de sécurité a adopté à l’unanimité, cet après-midi, sa résolution 2413 (2018), identique sur le fond à la résolution adoptée quelques heures plus tôt par l’Assemblée générale, à l’issue de trois jours de débat sur le même thème.