Au dernier jour du débat de haut niveau 2021 du Conseil économique et social (ECOSOC), M. Liu Zhenmin, Secrétaire général adjoint aux affaires économiques et sociales, a estimé que le succès du Programme de développement durable à l’horizon 2030 se mesurera à la façon dont nous respectons les engagements à « ne laisser personne de côté ». Ces engagements sont réaffirmés dans la Déclaration ministérielle adoptée hier par le forum politique de haut niveau pour le développement durable, que l’ECOSOC a entérinée cet après-midi.
En cours au Siège de l'ONU
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Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et l’ONG Action contre la faim ont appelé, ce matin, le Conseil de sécurité à veiller à ce que les régimes de sanctions et les mesures antiterroristes ne portent pas atteinte à l’espace et à l’action humanitaires, dans un contexte marqué par une forte augmentation du nombre de personnes dans le besoin du fait de l’impact des changements climatiques, de la pandémie de COVID-19 ou encore du creusement des inégalités.
Le forum politique de haut niveau pour le développement durable a adopté, cet après-midi, une déclaration ministérielle*, point d’orgue du débat ministériel qu’il tient avec le Conseil économique et social (ECOSOC) sur le thème de la reprise durable et de la résilience après la pandémie de COVID-19, pour ouvrir une voie inclusive et efficace vers la réalisation du Programme de développement durable à l’horizon 2030. Cette déclaration, qui marque la fin des travaux du forum de haut niveau pour 2021, devrait être adoptée demain par l’ECOSOC.
Munis d’une Déclaration présidentielle, les membres du Conseil de sécurité ont entendu aujourd’hui l’Envoyé spécial du Secrétaire général et Chef de la Mission d’appui des Nations Unies en Libye (MANUL) faire le point sur les problèmes liés au processus électoral libyen.
L’Assemblée générale a tenu aujourd’hui une séance publique pour rendre hommage à la mémoire du Président d’Haïti, Jovenel Moïse, assassiné le 7 juillet dernier dans sa résidence de Port-au-Prince. Les orateurs, dont la Vice-Présidente de l’Assemblée générale et la Vice-Secrétaire générale de l’ONU, ont condamné cet assassinat « odieux », « tragique », « lâche » et « barbare », tandis que le représentant de la Communauté des Caraïbes (CARICOM) a demandé que ses auteurs soient traduits en justice pour éviter un « effondrement de la civilisation en Haïti ». L’Assemblée a également adopté une décision relative au débat général de sa prochaine session.
Le Conseil de sécurité a décidé aujourd’hui de proroger jusqu’au 15 juillet 2022, le mandat de la Mission des Nations Unies en appui à l’Accord sur Hodeïda (MINUAAH), chargée de faciliter l’application de l’Accord sur la ville de Hodeïda et les ports de Hodeïda, de Salif et de Ras Issa comme le prévoit l’Accord de Stockholm*.
Selon le Secrétaire général de l’ONU, plutôt que de progresser dans la réalisation du Programme de développement durable à l’horizon 2030, nous nous éloignons davantage de nos objectifs. M. António Guterres a fait ce constat ce matin en ouvrant, en personne, le débat ministériel du forum politique de haut niveau pour le développement durable, lequel se tiendra durant trois jours, de concert avec le débat de haut niveau du Conseil économique et social (ECOSOC).
Nous devons reconnaître, voire célébrer « les réels » progrès enregistrés par la Colombie, a estimé aujourd’hui l’Irlande alors que le Conseil de sécurité entendait le Chef de la Mission de vérification des Nations Unies dans le pays et la Vice-Présidente et Ministre colombienne des affaires étrangères.
Le Conseil de sécurité a prorogé aujourd’hui par la résolution 2585 (2021) le mécanisme d’acheminement de l’aide humanitaire transfrontalière en Syrie créé en 2014, une initiative saluée par la Fédération de Russie comme « un événement historique » parce qu’il s’agit du premier texte « conjoint » adopté à l’unanimité et ce, depuis 2016, a souligné la Norvège qui, avec sa collègue porte-plume, l’Irlande, a été chaleureusement félicitée pour avoir rendu possible « cet accord humanitaire ».
Le Conseil de sécurité s’est réuni, cet après-midi, pour faire le point sur le différend entourant le Grand barrage éthiopien de la Renaissance. À cette occasion, l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour la Corne de l’Afrique a indiqué que les parties, à savoir l’Égypte et le Soudan d’une part, et l’Éthiopie de l’autre, n’ont pas été en mesure de s’entendre sur un cadre d’engagement pour régler certaines questions fondamentales, notamment un mécanisme de résolution des différends et le remplissage et l’exploitation du barrage pendant les années de sécheresse.