« Le monde continue de vivre dans l’ombre d’une catastrophe nucléaire », a déclaré avec gravité, ce matin, M. António Guterres, lors de l’ouverture de la Réunion de haut niveau célébrant la Journée internationale pour l’élimination totale des armes nucléaires.
En cours au Siège de l'ONU
#UN75
C’est un « recul mondial » de l’égalité des sexes et des droits des femmes qui a été constaté aujourd’hui à la Réunion de haut niveau qu’a organisée l’Assemblée générale pour le vingt-cinquième anniversaire de la quatrième Conférence mondiale de Beijing sur les femmes.
Redresser les économies nationales meurtries par la COVID-19 tout en sauvegardant les écosystèmes abîmés par l’activité humaine.
« De nombreux dirigeants politiques ont reconnu que le multilatéralisme est le système le plus efficace pour s’attaquer aux défis mondiaux comme la pandémie ou les changements climatiques », s’est réjoui le Président de cette soixante-quinzième session de l’Assemblée générale, M. Volkan Bozkir, dans son discours de clôture du débat général.
La paralysie de la diplomatie en ces temps de pandémie de COVD-19 a continué de préoccuper les délégations au cinquième jour du grand rendez-vous qu’est le débat général de l’Assemblée générale, organisé virtuellement cette année.
Le quatrième jour du débat général de l’Assemblée générale, toujours rythmé par les vidéos préenregistrées des chefs d’État et de gouvernement, a été marqué par le « retour » du pape François, cinq ans après sa dernière intervention en personne à la tribune.
Au troisième jour du débat général de l’Assemblée générale, les répercussions sans précédent de la pandémie de COVID-19 figuraient une fois de plus au centre des préoccupations des États Membres, dont une majorité de Chefs d’États africains qui ont plaidé pour un appui à la relance de leurs économies.
Alors que la première journée du débat général de l’Assemblée générale a été marquée par des déclarations sombres et alarmantes, ce sont les appels à la « solidarité » et à une « mondialisation de la compassion », selon l’expression de la Présidente slovaque, qui ont semblé dominer, lors de cette deuxième journée, les interventions d’une trentaine de chefs d’État et de gouvernement, consacrées en grande partie au défi sans précédent que constitue la pandémie de COVID-19.
C’est dans le format sans précédent de déclarations retransmises par vidéo devant une salle de l’Assemblée générale sans public et peuplée seulement de quelques délégués que s’est ouvert aujourd’hui le débat de haut niveau de cette session du soixante-quinzième anniversaire de l’ONU.
On trouvera, ci-après, le texte de l’allocution du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, prononcée devant l’Assemblée générale, à New York, aujourd’hui:
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