On trouvera ci-après le message du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à l’occasion de la Journée internationale des langues des signes, célébrée le 23 septembre:
En cours au Siège de l'ONU
Droits humains
On trouvera ci-après le message du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à l’occasion de la Journée internationale des peuples autochtones, célébrée le 9 août:
La déclaration suivante a été communiquée, aujourd’hui, par le Porte-parole de M. António Guterres, Secrétaire général de l’ONU:
L’Instance permanente sur les questions autochtones a conclu, cet après-midi, sa session 2019 par l’adoption, à l’unanimité, d’un ensemble de recommandations* visant à améliorer la préservation des langues, savoirs traditionnels et droits.
La poursuite, ce matin, des travaux de l’Instance permanente sur les questions autochtones a été marquée par les réactions à l’intervention du Président du Congrès mondial des Ouïghours, l’appel à un appui plus ferme du Secrétaire général ainsi que par une vive dénonciation de l’absence de répudiation de la doctrine de la découverte.
La session 2019 de l’Instance permanente sur les questions autochtones a achevé, ce matin, sa première semaine de travaux par un appel à améliorer la représentation des peuples autochtones au sein des Nations Unies, notamment via la création d’un statut d’observateur à l’Assemblée générale pour leurs représentants, au lieu du système actuel qui les oblige à s’inscrire en tant que membres de la société civile.
La session 2019 de l’Instance permanente sur les questions autochtones a poursuivi ses travaux, ce matin, au Siège de l’ONU, l’occasion pour plusieurs intervenants de tirer la sonnette d’alarme face à la prévalence « disproportionnée » de certaines maladies chez les peuples autochtones et aux « discriminations » qu’ils subissent dans l’accès à des soins respectueux de leurs traditions, s’agissant de la tuberculose, du virus du sida ou de la santé mentale des jeunes et personnes LGBT
Au troisième jour de la session annuelle de l’Instance permanente sur les questions autochtones, de nombreux participants ont mis l’accent sur les menaces graves pesant sur les peuples autochtones d’Amazonie, notamment les Yanomami et les tribus isolées de la vallée du Javari, qui ont lancé un « appel à l’aide » face aux « discours haineux » proférés à leur encontre par le nouveau Président du Brésil, M. Jair Bolsonaro.
La deuxième journée de la session annuelle de l’Instance permanente sur les questions autochtones a été marquée par les interventions de représentants kanaks, samis, quechuas, maoris, navajos, métisses de l’Ontario et touarègues, ces derniers ayant tous souligné les vertus environnementales et médicinales de leurs connaissances traditionnelles, qu’elles se fondent sur les racines de plantes ou l’urine et les poils d’animaux.
Le Secrétaire général de l’ONU a annoncé aujourd’hui la nomination de M. Nicholas Koumjian, des États-Unis, comme Chef du Mécanisme d’enquête indépendant pour le Myanmar.