Les autochtones ont dépeint, aujourd’hui, devant leur Instance permanente, la situation très difficile des femmes, en proie à une véritable « épidémie de meurtres » selon l’Union of BC Indian Chiefs du Canada. Le sort des jeunes, tout aussi dramatique, a aussi été mis en lumière.
En cours au Siège de l'ONU
Droits humains
Les organisations autochtones ont peint, aujourd’hui, en couleurs sombres le tableau des défenseurs de leurs droits de l’homme, profitant de la troisième journée de travaux de l’Instance permanente sur les questions autochtones pour tirer la sonnette d’alarme.
Les conflits, l’industrie minière, les grands projets d’infrastructure, l’exploitation commerciale des forêts, les pressions démographiques et socioéconomiques. Voilà les obstacles à l’exercice par les peuples autochtones de leurs droits collectifs sur leurs terres, leurs territoires et leurs ressources. L’Instance permanente sur les questions autochtones a poursuivi aujourd’hui son débat sur ce thème central au cours duquel les participants ont dénoncé la multiplication des « manœuvres » pour déposséder leurs communautés.
L’Instance permanente sur les questions autochtones a ouvert, ce matin, sa dix-septième session, sur le thème « Droits collectifs des peuples autochtones sur leurs terres, leurs territoires et leurs ressources », en présence de plus de 1 000 participants et du Président bolivien, M. Evo Morales Ayma, et comme le veut la tradition, après les mots de bienvenue du Chef de la nation onondaga, Tadodaho Sid Hill, de la tribu originelle de New York.
La dix-septième session de l’Instance permanente sur les questions autochtones des Nations Unies (UNPFII) ouvrira ses portes du 16 au 27 avril 2018, au Siège de l’ONU, New York. Plus de 1 000 représentants des communautés autochtones examineront les droits collectifs des peuples autochtones -moins de 6% de la population mondiale, mais 15% des plus pauvres de la planète- sur leurs terres, leurs territoires et leurs ressources
Cent bougies pour Nelson Mandela et 70 pour la Déclaration universelle des droits de l’homme. La Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale a été commémorée cette année dans un contexte inhabituel. Malgré les progrès enregistrés depuis la naissance de l’« icône mondiale » et la consécration de l’égalité de tous en droits, le monde se retrouve en butte à l’aggravation de la xénophobie, du racisme et de l’intolérance, y compris de l’antisémitisme et de la haine antimusulmane, sans oublier la multiplication des partis néonazis et d’extrême droite.
Le Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, a fait aujourd’hui la déclaration suivante:
On trouvera ci-après le message du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à l’occasion de la Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste, célébrée le 27 janvier:
On trouvera ci-après le message du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à l’occasion de la Journée des droits de l’homme, le 10 décembre:
On trouvera ci-après le message du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à l’occasion de la Journée internationale des personnes handicapées, célébrée le 3 décembre, et cette année, sur le thème « Transformer nos sociétés pour les rendre viables et résilientes pour tous »: