Après 24 réunions plénières menées tambour battant par Mme Gillian Elizabeth Bird, sa Présidente australienne, la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a, tard dans la nuit du 22 décembre, achevé ses travaux par l’adoption de 15 projets de résolution et d’une décision, la majorité d’entre elles ayant été approuvées, aux dires de Mme Bird, « dans les dernières 24 heures seulement ».
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
Le Conseil de sécurité a, en début d’après-midi, approuvé les accords conclus par les parties yéménites lors des consultations qui se sont tenues du 6 au 13 décembre à Stockholm, en Suède, avec l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour le Yémen.
En adoptant aujourd’hui, une déclaration présidentielle, le Conseil de Sécurité a déterminé qu’il n’était pas nécessaire, à ce stade, d’apporter de nouveaux ajustements à sa résolution 2368 (2017), établissant le régime de sanctions contre l’EIIL (Daech) et Al-Qaida.
Alors qu’elle s’apprête à achever la première partie de sa soixante-treizième session, l’Assemblée générale a rejeté aujourd’hui une résolution présentée par la Fédération de Russie sur « la préservation et le respect du Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire ».
Plus de six mois après la nomination d’un Premier Ministre de consensus et la formation d’un gouvernement inclusif conformément aux Accords de Conakry, la situation politique demeure incertaine en Guinée-Bissau.
Le Conseil de sécurité a, ce matin, renouvelé le mandat de la Force des Nations Unies chargée d’observer le désengagement (FNUOD) pour une période de six mois, soit jusqu’au 30 juin 2019, tout en priant le Secrétaire général de veiller à ce qu’elle dispose des moyens et ressources nécessaires pour s’acquitter de son mandat en toute sécurité.
Chaleureusement applaudi à l’issue de sa dernière présentation devant le Conseil de sécurité, l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour la Syrie a regretté, ce matin, l’insuffisance des progrès dans la constitution d’un comité constitutionnel, mais estimé que les bases avaient été posées pour avancer
L’approche tout sécuritaire à elle seule ne suffira pas à stabiliser le Sahel. Il faut concomitamment un vaste programme de développement qui permettra de transformer positivement les économies, améliorer les conditions de vie des populations et rendre l’espoir aux jeunes
L’Assemblée générale a entériné, ce matin, 38 recommandations de sa Deuxième Commission, chargée des questions économiques et financières, et 22 autres de sa Sixième Commission qui contribuent au développement et à la codification du droit international. Les textes de cette dernière ont tous été approuvés sans vote, notamment celui qui adopte la « Convention de Singapour sur la médiation », tandis que 11 résolutions de la Deuxième Commission ont été soumises aux voix.
À la demande de la Côte d’Ivoire, qui en préside les travaux en décembre, le Conseil de sécurité s’est intéressé, cet après-midi, aux « nouvelles tendances alarmantes » à l’œuvre en Afrique centrale et de l’Ouest s’agissant du trafic de stupéfiants, et sa cohorte d’« effets déstabilisants et perturbateurs » sur la gouvernance, la sécurité, la croissance économique et la santé publique.