Après plus de deux ans de paralysie sur la question syrienne, le Conseil de sécurité a condamné « avec la plus grande fermeté » l’emploi d’armes chimiques en République arabe syrienne, « en particulier l’attaque du 21 août 2013 ».
« Le monde regarde le Yémen avec attention pour savoir s’il est capable d’aller sur la voie prometteuse dans laquelle il s’est engagé », a déclaré, cet après-midi, devant les membres du Conseil de sécurité, le Conseiller spécial du Secrétaire général sur le Yémen, M. Jamal Benomar.
Répondant à l’appel de l’Australie, qui préside le Conseil de sécurité ce mois, le Conseil a préconisé, cet après-midi, la mise en place ou le renforcement de mécanismes sous-régionaux et régionaux de coopération, de coordination et de partage d’informations en vue de prévenir, de combattre et d’éliminer le transfert illicite, l’accumulation déstabilisante et le détournement à des fins non prévues d’armes légères et de petit calibre (ALPC).
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite aujourd’hui par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de septembre, M. Gary Quinlan (Australie):
M. Kubiš a, dans son exposé, salué le courage et la capacité des Forces de sécurité afghanes à assumer les défis en matière de sécurité, ainsi que la confiance croissante qu’elles inspirent à la population. Toutefois, a-t-dit, ces forces auront besoin d’un appui international au cours des cinq prochaines années pour achever de se développer et devenir indépendantes.
Le Conseil de sécurité a entendu, cet après-midi, l’exposé du Représentant exécutif du Secrétaire général, M. Jens Anders Toyberg-Frandzen, qui a fait le point sur la mise en œuvre du Programme pour la prospérité, lancé en juillet dernier par le Gouvernement.
Le Coordonnateur spécial pour le processus de paix au Moyen-Orient, M. Robert Serry, qui présentait, ce matin devant le Conseil de sécurité, l’exposé mensuel du Secrétariat sur la situation dans la région, a salué l’engagement « courageux » des dirigeants israéliens et palestiniens qui ont décidé de reprendre les pourparlers directs, et invité la communauté internationale à aider les parties à aller de l’avant.
Ce matin, au cours d’une séance d’information au Conseil de sécurité sur la Mission d’appui des Nations Unies en Libye (MANUL) et les sanctions libyennes, M. Tarek Mitri, Représentant spécial du Secrétaire général et Chef de la MANUL, a recensé les obstacles qui se posent actuellement aux autorités libyennes sur les plans interne et régional alors qu’elles s’efforcent de faire progresser le processus de transition.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite aujourd’hui par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de septembre, M. Gary Quinlan (Australie):