Dans une déclaration rendue publique aujourd’hui par sa Présidente et Représentante permanente de la Pologne, Mme Joanna Wronecka, le Conseil de sécurité se déclare « profondément » préoccupé par l’escalade de la violence dans tout le Yémen et particulièrement par l’évolution récente de la situation dans le sud du pays.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
Alors que l’on assiste à une nouvelle escalade de la violence dans le nord-ouest de la Syrie, synonyme de lourd bilan humanitaire, l’Envoyé spécial du Secrétaire général a laissé entendre, aujourd’hui, devant le Conseil de sécurité, que la convocation d’un comité constitutionnel « crédible, équilibré et inclusif », première étape d’un processus politique plus large, pourrait intervenir dans les prochaines semaines, à la faveur des avancées dans les négociations intrasyriennes en cours à Genève
Le Conseil de sécurité a décidé aujourd’hui de proroger d’un an, jusqu’au 31 août 2019, le mandat de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL), « dont le déploiement aux côtés de l’Armée libanaise a contribué à créer un nouvel environnement stratégique dans le sud du Liban »
Le 29 juillet 2019, Mme Virginia Gamba, Représentante spéciale du Secrétaire général pour le sort des enfants en temps de conflit armé, et Mme Pramila Patten, Représentante spéciale du Secrétaire général chargée de la question des violences sexuelles commises en période de conflit, ont présenté des exposés au Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2127 (2013) concernant la République centrafricaine et au Groupe de travail sur le sort des enfants en temps de conflit armé.
Le Conseil de sécurité a adopté, aujourd’hui à l’unanimité, la résolution 2484 (2019) pour reconduire jusqu’au 31 août 2020 le régime de sanctions concernant le Mali, sans le modifier, et proroger jusqu’au 30 septembre 2020 le mandat du Groupe d’experts créé en application de la résolution 2374 (2017).
Deux mois après sa visite « historique » en Iraq, où il a célébré la liberté et la souveraineté recouvrées, consécutivement à la défaite militaire de Daech, le Conseil de sécurité a entendu ce matin la Représentante spéciale du Secrétaire général parler d’un pays aux « défis énormes qui ne sont pas nés en une nuit et qui ne sont pas le seul fait de ses actions ».
Les Chefs du Bureau de lutte contre le terrorisme (BLT) et de la Direction exécutive du Comité contre le terrorisme (DECT) ont présenté aujourd’hui au Conseil de sécurité leur neuvième rapport sur la menace que représente l’État islamique de l’Iraq et du Levant (Daech) pour la paix et la sécurité internationales.
Dans un contexte marqué par la récente multiplication des incidents violents entre Israéliens et Palestiniens, en Cisjordanie mais aussi à Gaza, le Coordonnateur des Nations Unies pour le processus de paix au Moyen-Orient s’est livré, aujourd’hui, devant le Conseil de sécurité, à un plaidoyer en faveur de « mesures concrètes » susceptibles d’inverser cette tendance négative, faute de quoi, a-t-il averti, un « cocktail explosif » risque d’embraser la région.
Aujourd’hui au Conseil de sécurité, le Secrétaire général adjoint aux opérations de paix a estimé que le fait que le peuple soudanais ait choisi un processus de prise de décisions plus inclusif est une occasion de mettre définitivement fin au conflit au Darfour.
Quelques jours après l’annonce du premier test américain de missile de portée intermédiaire depuis la fin de la guerre froide, la Fédération de Russie et les États-Unis se sont rejetés l’un sur l’autre, cet après-midi, devant le Conseil de sécurité, la faute de l’extinction du Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire, au milieu d’appels à la reprise du dialogue afin d’éviter une nouvelle course à l’armement nucléaire.