Les membres du Conseil de sécurité ont salué, ce matin, les premières « lueurs d’espoir » apparues au Yémen, notamment avec la désescalade dans le Sud. Mais ils ont aussi constaté la fragilité de cette évolution et le caractère « catastrophique » de la situation humanitaire, ce qui les a amenés à demander que soit conclu un véritable accord de paix global, afin d’alléger les souffrances de la population.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois d’octobre, M. Jerry Matthews Matjila (Afrique du Sud):
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois d’octobre, M. Jerry Matthews Matjila (Afrique du Sud):
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois d’octobre, M. Jerry Matthews Matjila (Afrique du Sud):
Alors que la Mission des Nations Unies pour l’appui à la justice en Haïti (MINUJUSTH) achevait ses deux années d’existence, le Conseil de sécurité a exprimé ce matin son inquiétude pour l’avenir d’Haïti, qui s’apprête, après 15 années, à vivre pour la première fois sans mission de maintien de la paix.
Le Conseil de sécurité a décidé ce matin de proroger d’un mois, jusqu’au 15 novembre prochain, la partie du mandat de la Force intérimaire de sécurité des Nations Unies pour Abyei (FISNUA) consistant à apporter son soutien au Mécanisme conjoint de vérification et de surveillance de la frontière entre le Soudan et le Soudan du Sud.
Le 11 octobre 2019, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999), 1989 (2011) et 2253 (2015) concernant l’EIIL (Daech), Al-Qaida et les personnes, groupes, entreprises et entités qui leur sont associés, a promulgué les modifications spécifiées par les biffures et les soulignements dans l’entrée ci‑dessous sur sa Liste des individus et entités faisant l’objet de sanctions – gel des avoirs, interdiction de voyager et embargo sur les armes – conformément au paragraphe 1 de la résolution 2368 (2017) du Conseil de sécurité et adoptées en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies:
Un dialogue est « essentiel » pour vaincre les obstacles à la mise en œuvre de l’Accord de paix en Colombie, a déclaré ce matin le Représentant spécial du Secrétaire général pour ce pays M. Carlos Ruiz Massieu, en s’alarmant de l’annonce du retour aux armes par d’anciens commandants des Forces armées révolutionnaires de Colombie-Armée populaire (FARC-EP).
Du 18 au 20 septembre 2019 à Wellington (Nouvelle-Zélande), le Comité 1540 a pris part à un séminaire parlementaire régional consacré à la participation des parlements de la région du Pacifique à la mise en œuvre de la résolution 1540 (2004) du Conseil de sécurité.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois d’octobre, M. Jerry Matthews Matjila (Afrique du Sud):