Le Représentant spécial du Secrétaire général pour la Guinée-Bissau, M. Modibo Touré, a appelé aujourd’hui, devant le Conseil de sécurité, les dirigeants politiques de ce pays à mettre un terme à la paralysie politique dans laquelle il est plongé depuis la suspension du processus parlementaire.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité: Aucun nom
Il y a plus de 37 ans, le Conseil de sécurité a considéré que les implantations israéliennes dans les territoires occupés n’avaient aucune valeur juridique et représentaient un obstacle à la conclusion d’une paix globale, juste et durable au Moyen-Orient. Ce qui était vrai en 1979 l’est tout autant aujourd’hui, et d’une préoccupation bien plus urgente, a déclaré ce matin devant le Conseil le Coordonnateur spécial pour le processus de paix au Moyen-Orient et Représentant personnel du Secrétaire général, M. Nickolay Mladenov.
Le 26 août 2016, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2140 (2014) a adopté les modifications indiquées par des mots barrés ou soulignés dans les entrées ci-après figurant sur la Liste des personnes visées par le gel des avoirs et l’interdiction de voyager prévues respectivement aux paragraphes 11 et 15 de la résolution 2140 (2014) et par l’embargo sur les armes prévu au paragraphe 14 de la résolution 2216 (2015), ces deux résolutions ayant été adoptées en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies.
À sa 58e séance, le 17 mai 2016, le Groupe de travail du Conseil de sécurité sur le sort des enfants en temps de conflit armé est convenu, à l’occasion de l’examen du deuxième rapport du Secrétaire général sur le sort des enfants touchés par le conflit armé en Iraq (S/2015/852), d’adresser, sous forme de déclaration publique de son président, un message:
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois d’août, M. Ramlan Bin Ibrahim (Malaisie):
Le Représentant spécial du Secrétaire général pour le Libéria, M. Farid Zarif, a affirmé, cet après-midi devant le Conseil de sécurité, que ce pays avait franchi le 1er juillet une « étape historique en assumant l’entière responsabilité du maintien de la sécurité », mais a insisté sur les défis qui subsistent, telles que les divisions politiques et la préparation des élections de 2017.
Le Conseil de sécurité a tenu aujourd’hui son débat trimestriel sur la situation au Kosovo, marqué une nouvelle fois par la présentation de points de vues opposés entre les délégations de la Serbie et du Kosovo et leurs soutiens respectifs au sein du Conseil, que ce soit sur le calme apparent qui prévaut sur place, sur l’état des discussions entre Belgrade et Pristina ou encore l’avenir de la Mission d’administration intérimaire des Nations Unies au Kosovo (MINUK).
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois d’août, M. Ramlan Bin Ibrahim (Malaisie):
Le Secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki-moon, a affirmé aujourd’hui devant le Conseil de sécurité que « le moyen le plus sûr de prévenir la destruction humaine, environnementale et existentielle que les armes de destruction massive peuvent causer est de les éliminer une fois pour toutes ».
Le 23 août 2016, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2127 (2013) concernant la République centrafricaine a promulgué les modifications spécifiées par les soulignements dans l’entrée ci-dessous dans la Liste des individus et entités faisant l’objet de sanctions –gel des avoirs, et interdiction de voyager– conformément aux paragraphes 5 et 8 de la résolution 2262 (2016) du Conseil de sécurité adoptée en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies.