Au Conseil de sécurité, le Secrétaire général de l’ONU a, cet après-midi, tiré une nouvelle fois la sonnette d’alarme devant les risques de famine dans plusieurs théâtres de conflit, à savoir le Soudan du Sud, la Somalie, le Yémen et le nord-est du Nigéria. Devant « le retour de la faim comme arme de guerre », la prévention doit être notre mot d’ordre, a souligné, M. António Guterres.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité: Aucun nom
La Représentante spéciale du Secrétaire général pour Haïti, Mme Sandra Honoré, a souligné, ce matin, devant le Conseil de sécurité, la contribution de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en Haïti (MINUSTAH) à la stabilité recouvrée du pays, alors que la Mission, créée en 2004, doit fermer ses portes le 15 octobre prochain et passer le relais, le lendemain, à une mission plus modeste, la Mission des Nations Unies pour l’appui à la justice en Haïti (MINUJUSTH).
Le 17 juillet 2017, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2048 (2012) concernant la Guinée-Bissau a tenu des consultations pendant lesquelles il a entendu un exposé de son président sur la visite qu’il avait effectuée en Guinée-Bissau du 13 au 15 juin, et examiné les mesures proposées sur la voie à suivre.
En République démocratique du Congo (RDC), les défis à l’application de l’Accord du 31 décembre 2016 persistent, sur fond de détérioration de la situation sécuritaire dans les Kasaï et les provinces de l’est, s’est alarmé, ce matin, le Représentant spécial du Secrétaire général pour ce pays, devant le Conseil de sécurité, qui a aussi entendu le Ministre congolais des affaires étrangères
Le 3 octobre 2017, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1718 (2006) a procédé à la désignation des quatre navires ci-après, conformément au paragraphe 6 de la résolution 2375 (2017):
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois d’octobre, M. François Delattre (France):
L’Envoyé spécial du Secrétaire général au Yémen a exhorté, ce matin, le Conseil de sécurité à utiliser tous les instruments politiques et économiques à sa disposition pour faire pression sur les parties afin qu’elles s’engagent en faveur d’une solution de paix, seule à même de mettre fin à l’injustifiable « bain de sang » qui se déroule dans ce pays.
Le Conseil a, ce matin, approuvé le Plan d’action des Nations Unies en vue de la reprise d’un processus politique sans exclusive pris en main par les Libyens sous la direction et l’égide de l’ONU.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois d’octobre, M. François Delattre (France):
À la demande du Gouvernement colombien et de l’Armée de libération nationale (ELN), le Conseil de sécurité a, cet après-midi, décidé que la Mission de vérification des Nations Unies en Colombie participera à titre provisoire, jusqu’au 9 janvier 2018, aux travaux du Mécanisme de surveillance et de vérification agréé par les deux parties.