En cours au Siège de l'ONU

Couverture des réunions


CS/9939
Le Conseil de sécurité a, ce matin, prorogé jusqu’au 30 juin 2010 le mandat de la Mission de l’Organisation des Nations Unies en République démocratique du Congo (MONUC). Le pays étant entré « dans une nouvelle phase », celle-ci s’appellera, à partir du 1er juillet 2010, « Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation de la République démocratique du Congo » ou « MONUSCO », et sera déployée jusqu’au 30 juin 2011.
CD/3243
La Conférence d’examen des Parties chargées d’examiner le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP) a adopté, aujourd’hui, le document final* de ses travaux, qui contient trois plans d’action portant sur les trois piliers du Traité, et des recommandations pour parvenir à la création au Moyen-Orient, d’une zone exempte d’armes nucléaires, comme recommandé par la résolution adoptée en 1995 sur la question.
MER/1935
La Conférence de cette année entend rappeler combien il est important de constamment interpréter et appliquer les dispositions de l’Accord de 1995 sur l’application des dispositions de la Convention sur le droit de la mer relatives à la gestion et à la conservation des stocks de poissons, conformément à l’esprit de cet instrument.
ECOSOC/6422-ONG/694
Poursuivant l’examen des nouvelles demandes d’admission au statut consultatif auprès du Conseil économique et social (ECOSOC), le Comité des organisations non gouvernementales (ONG), a recommandé à l’ECOSOC d’octroyer le statut consultatif spécial aux organisations Global Afrikan Congress et Imam Ali’s Popular Students Relief Society.
AG/AB/3952
À la veille de la clôture de sa deuxième reprise de session, la Cinquième Commission (chargée des questions administratives et budgétaires) a, cet après-midi, examiné le projet de budget du futur Bureau des Nations Unies auprès de l’Union africaine estimé à 10 642 000 dollars par le Secrétaire général(1) pour l’exercice annuel 1er juillet 2010-30 juin 2011.
MER/1934
La grande majorité des États parties à la Convention sur le droit de la mer et à l’Accord ont insisté sur l’amélioration du contrôle de la pêche aux requins, et sur la réglementation du commerce croissant qui est fait des ailerons de cette espèce, dont la préservation et la survie sont désormais jugées précaires et en danger.